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Chine et écologie, délocalisation indienne et la politique ne doit pas être laissée à l'homme d'affaires...

Publié le 12 août 2013 par Christophefaurie
Chine et écologie, délocalisation indienne et la politique ne doit pas être laissée à l'homme d'affaires... Une fois de plus la Chine change. Elle s’en prend à sa pollution. Ce n’est pas facile d’autant que pour la population cela demeure une préoccupation secondaire. Mais « ses leaders comprennent le défi du changement climatique mieux que leurs prédécesseurs et peut-être mieux que leurs équivalents internationaux. Ils sont bons pour passer à l’action dans les situations d'urgence. Parce que le pays arrive après les autres, il devrait pouvoir apprendre de leurs erreurs (…) La Chine a un marché intérieur énorme, des capitaux peu chers et des déserts ensoleillés et ventés, un environnement idéal pour bâtir un système qui n’émette pas de carbone. »
La fin des illusions ? « Plutôt que d’utiliser ses compétences d’homme d’affaires pour relancer l’économie italienne, M.Berlusconi a utilisé ses compétences politiques pour protéger ses intérêts d’homme d’affaires. » Faillite du partenariat public-privé. Partout dans le monde cela a été la même chose. On espérait qu’avec des hommes d’affaires au gouvernement, l’économie irait mieux qu’avec des hommes politiques. C’est le contraire qui s’est passé. Fin d’une ère en Israël ? L’armée de citoyens céderait la place à une armée de métier de haute technologie. Adaptation à la dislocation des pays voisins, mais aussi aux aspirations de la population. Barak Obama ferme ses ambassades au Moyen-Orient et en Afrique du nord. Contrairement à ce qu’il croyait, Al Qaeda n’est pas en recul. Au contraire, le chaos régional est favorable à son expansion. L’économie syrienne est en apnée. On se dirige vers une économie de subsistance dominée par des seigneurs de guerre. Fin d’une ère en Italie ? Berlusconi semble avoir été affecté par sa dernière condamnation. Il n'aurait pas de remplaçant à la tête de son parti. Avenir national incertain. (Recomposition de l’Italie politique en vue ?) En tout cas, l’Industrie italienne, jadis puissante, est dans un cercle vicieux. Plus ses entreprises se délocalisent, plus elles tendent à former des sous-traitants étrangers, plus le pays perd en compétence, plus le chômage monte, et plus le marché se rétrécit. La Grèce, le Portugal et l’Irlande vont avoir besoin de la solidarité de la zone euro. On attend l’élection de Mme Merkel pour le dire. « 52% des Anglais ont du mal à joindre les deux bouts. » En Angleterre, il y a de la place pour les gros salaires et pour les très bas. Les qualifications intermédiaires souffrent (apparemment 40% de la population). L’Etat aurait masqué le phénomène par le crédit d’impôt. Et cette population serait surendettée. (Miracle thatchérien ?) L’Inde étant un pays où apparemment rien n’est facile, les hommes d’affaires délocalisent ce qui est compliqué à réaliser ou mal fait en Inde vers d’autres pays (Doubaï, Singapour, l’Ile Maurice, le Sri Lanka, l’Angleterre et même la France).
Achat du Washington Post par Jeff Bezos. L’affaire pourrait réussir. Les journaux sont devenus très bon marché (un dixième de leur prix d'antan). Ils doivent réinventer leur modèle économique. Plus question de compter sur la publicité. Les revenus doivent venir des consommateurs. Et M.Bezos a montré qu’il savait les comprendre. Mais, pour qu’un journal comme le Washington Post continue à faire trembler les hommes politiques. Il doit attirer à lui un lectorat important. Il doit convenir à beaucoup de goûts. 
Start up. Une nouvelle activité voit le jour : les entreprises envisagent de monter des contre-attaques contre les pirates informatiques. Il y a aussi un marché de stimulation de l’intellect vieillissant inspiré par les dernières découvertes en neurosciences. Et on est maintenant capable d’utiliser du papier pour imprimer en 3D. Ce qui donne des résultats aussi durs que le bois.
La consommation de poisson explose. Elle est tirée par les pays émergents. Les quantités issues de la pêche sont constantes. La pisciculture est en plein développement.
Attention, l’inactivité est dangereuse. Pour bien se porter, il faudrait maintenir une activité de « basse intensité » (marcher, travailler debout, par exemple). Enfin, on étudie en laboratoire les mutations des virus. Cela permet de se préparer aux éventuels dangers que peuvent présenter leurs évolutions.  

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