Gallimard, 10 janvier 2013, 528 pages
Résumé de l'éditeur :
«Les armes, c'est comme les femmes, on les aime quand on les touche.»
Diego est braqueur, né à Barcelone. Il vit à Aubervilliers, dans une hacienda délabrée, avec son frère Archibaldo et des souvenirs. Leur soeur, Adriana, a fait d'autres choix. Artiste au cirque Moreno, elle rêve d'accro cher son trapèze à la tour Eiffel.
À Paris, un braquage que la police surveillait pour obtenir le flagrant délit tourne au massacre. La traque est lancée, du quai des Orfèvres au canal Saint-Denis, du port de l'Arsenal aux replis secrets d'Aubervilliers. La brigade criminelle du 36 et le 2e DPJ enquêtent. Les commandants Desprez et Duchesne, aidés de la Fluviale, essaient de démêler les fils.
Un nom finit par tomber : Diego. Entre flingages et virées nocturnes Diego garde toujours un temps d'avance. Comment piéger celui que rien n'arrête ?
Tandis que l'enquête progresse, aussi implacable que le destin, des histoires cristallisent et les sentiments viennent bouleverser les liens de sang.
Mon avis :
Autant j'avais aimé son premier roman "Quai des enfers", autant avec celui-ci, je me suis ennuyée ferme.
Ca démarrait mal, il faut dire : des descriptions d'armes à feu à n'en plus finir, très peu pour moi. Qui plus est, les personnages sont nombreux, et la brigade fluviale apparaît un peu comme un cheveu sur la soupe.
Seule le personnage d'Adriana apporte un peu de poésie à l'ensemble.
Je ne me suis attachée à aucun personnage, les dialogues et les descriptions sont longs ; bref, ce roman n'en finissait plus.
Une déception, donc.
L'image que je retiendrai :
Celle de la trapeziste Adriana aux cheveux roux flamboyants.