Alors que la présence en librairie du dernier roman de Véronique Ovaldé, La Grâce des brigands, a été annoncée pour le 21 août (mais je vous en parlerai certainement bien plus tard), sort simultanément en format poche ma lecture de 2012... Des vies d'oiseaux. Je vous recommande donc chaudement aussi ce titre lumineux...
Un extrait de mon billet d'alors...
"Voici un joli roman de Véronique Ovaldé. Les premières lignes de cette lecture m'ont plutôt étonnées, me donnant le sentiment d'être entrée de plein fouet dans une intrigue policière. Et puis non. Parce que Véronique Ovaldé ne peut se contenter de poursuivre les principes d'un genre, nous voici ensuite propulsés dans le quotidien d'une desperate housewife qui se morfond depuis que sa fille adolescente a quitté le nid. Pour enfin se laisser bercer par une fable qui donne à l'amour un A majuscule, aventureux et imprudent."
Mon billet dans son intégralité par ici [clic].
"Le bonheur privé ordonnait et conférait du sens à sa vie, Paloma était son seul système de repères et sa balise, elle se rendait compte du danger de cette unique lorgnette, et elle en ressentait une étrange douleur amoureuse (une sorte de chagrin qui opresse la poitrine, mais un chagrin délicieux parce que exclusif, un chagrin qui vous dit combien vous êtes vivante et combien ce que vous aimez vous est précieux) [...]."
Editions J'ai Lu - 7.60 € - 21 Août 2013