Et nous voilà de retour à New York! Pardon pour le mini hiatus, je me suis prise pour une série à succès! Et avec le temps qui commence, doucement, à virer vers l’automnale (doucement, hein), mais qui reste encore agréable, quoi de mieux qu’une jolie promenade sur la magnifique High Line new-yorkaise? Rien.
On peut accéder à la High Line à de multiples endroits depuis la rue. Escaliers et ascenseurs ont été construits à intervalles réguliers. Mais dans New York en travaux, je ne vous cache pas que c’était un peu plus compliqué… Et frustrant quand on voit bien qu’ "elle est au-dessus, bon sang! C’est pas possible!" Bon, fin du suspens, nous avons évidemment trouvé. On a commencé notre découverte en douceur, car notre début de portion était sous les échafaudages. Pas grave, c’est quand même très impressionnant. Fleurs sauvages, hautes herbes, bancs, plantes diverses… Même avec les immeubles sous les yeux, on a du mal à croire qu’on est toujours à Manhattan… A certains endroits, la petite promenade en bois laisse apparaître les anciennes rails, et on réalise où on est.
Familier, non…?
La vue sur la ville est vraiment sublime. Tout le long de la balade, on peut apercevoir des peintures, des œuvres d’art contemporain… Et quand s’ajoute à la beauté du lieu le son d’un saxophone surgit de nulle part…. "Cœur avec les mains", quoi! [pas de bande son, juste un musicien au détour d'un immeuble...] C’est une promenade pour tout le monde, à faire plutôt le matin ou le soir, pour ne pas souffrir de la chaleur (si été) et du monde. La High Line a un succès fou et est donc très fréquentée. Vous trouverez des jets d’eau pour vous rafraîchir, et même une petite pataugeoire dans laquelle les enfants tremperont leurs petons avec joie (et ne retiendrons peut-être que ça d’ailleurs, pour les plus jeunes: New York, d’accord, mais pataugeons dans l’eau d’abord!). Pour résumer, la High Line est vraiment un de mes coups de cœur new-yorkais. C’est juste beau, on voit la ville d’une autre manière et la beauté de la flore est vraiment à couper le souffle. Alors oui, dans une prairie, on a la même. Mais là, je vous jure que ça prend une toute autre dimension…
Stéphanie