Parjures est né d’un fourmillement d’idées, un peu mon big-bang perso.
En vrac et dans le désordre:
- Et si Omar Raddad n’était pas innocent ? « Omar m’a tuer », dix lettres de sang pour une manipulation diabolique.
- Et si, à force de croire en l’arrivée des choses, elles finissaient par devenir réelles ? Une méthode Coué géante pour éviter de sombrer.
- Et si les apparences, au lieu d’être trompeuses, n’étaient que le décor du théâtre qu’on se joue ?
Parjures, c’est un peu tout cela. Une manipulation savamment orchestrée, une croyance en la vie telle, que la mort file à reculons.
Un roman où le mensonge et l’espoir fou dansent ensemble jusqu’au vertige final. Cette dernière page où le lecteur est à la fois délivré et prisonnier de l’habile manigance.