Septembre n’existe pas.
Il n’existe plus depuis si longtemps que j’en ai presque oublié pourquoi.
Il y a des chocs qui restent imprégnés dans mes cellules et qui malgré la légèreté, l’insouciance et les instants fugaces de paix intérieure m’étouffent l’âme.
Octobre et ses couleurs m’appellent et me font oublier qu’une ombre est passée.