Opération renard noir par Valéry Le Bonnec

Ceux qui me suivent savent que mes débuts dans l’écriture l’ont été avec un livre jeunesse. J’affectionne particulièrement ce genre. Au détour d’un surf sur internet, j’ai découvert la série « Détectivarium », alors forte de 17 romans. Ce qui m’a d’abord attiré ? Le graphique des couvertures. Les personnages étaient beaux, les couleurs éclatantes, le mystère toujours présents.

Je me suis donc plongé plus sérieusement dans les livres, en ai acheté plusieurs et je me suis dit : « pourquoi pas moi ? ». Le personnage central, Guillaume Delage, était très intéressant et tout ce qu’on pouvait en faire en tant qu’auteur m’a forcément attiré. J’ai donc sauté le pas.

J’avais une histoire en tête depuis plusieurs années mais je ne savais pas vraiment par quel bout commencer. Fallait-il que j’en fasse un roman jeunesse ? Fallait-il plutôt que je me tourne vers le roman noir pour adultes ? Devais-je l’écrire à la première personne ? A la troisième ? Au passé ? Au présent ? Bref, tout cela tournait en rond et Détectivarium m’a donné l’opportunité de l’écrire sans trop me poser de question. Toutes les consignes étaient clairement écrites dans le cahier des charges conçu par le créateur, Joseph Ouaknine. Que j’ai imprimé. Que j’ai étudié.

J’ai donc écrit mon histoire. Celle d’un homme qui, juste après avoir sollicité l’aide du détective Guillaume, se fait kidnapper. Guillaume et son fidèle ange Mikajoh partent donc à la recherche de ce mystérieux bonhomme. Une enquête qui va les mener dans les tourments de la résistance pendant la seconde guerre mondiale.

Et voilà, Opération Renard noir était né !