The Cherry Bones – Photo officielle
C’est enregistré à la bite et au couteau. Mais chez les fétichistes l’urgence et l’économie de moyens n’interdisent pas l’orfèvrerie. Objets du culte : orgues binaires et arrogantes, synthés revanchards, voix gueulardes distordues, guitares croustillantes à la fesse grasse et boîte à rythme dont l’intérêt est, peut-être, de permettre de diviser en deux la bière prévue pour trois mais, plus probablement, de donner un soupçon monomaniaque et minimal à l’ensemble. Bref : c’est salement bien (disponible depuis décembre 2012).
À retrouver le 9 novembre à Mains d’Oeuvres, dans le cadre de la nuit garage Sale et Sauvage.
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