Caractéristiques :
Genre : Jeunesse / Science-fiction
Grand format : 404 pages / 19,30 €
Résumé :
Le gaiaphage s’est incarnée en la personne de Gaïa, la fille biologique de Diana et Caine. Mais la petite fille a tôt fait de grandir et de demander de la viande… humaine ! Le monstre possède les pouvoirs de tous les enfants de la Zone. Alors que la plupart des adolescents perdent toute initiative de travail, alors que le dôme devient transparent, suite à la mort de Pete ; Caine, Sam, Astrid et les autres se préparent pour le combat avec Gaïa, qui semble imminent ! Les adultes à l’extérieur de la Zone sont désormais capables de voir ce qu’il s’y passe, et les jugements se font hâtifs, même envers les héros… Pete reste le « Némésis » de Gaïa, car il a beau avoir perdu sa composante physique, il n’a pas complètement disparu. Et alors que la Zone s’apprête à être libérée de sa barrière, Gaïa se met en tête de tuer tous ses habitants…
Avis par Jake :
« La lumière » est le dernier chapitre de la grande saga de Michael Grant qui aura conquis des millions de personnes à travers le monde. Et ce tome est loin d’être le moins bon de la grande aventure « Gone » ! Il ne souffre d’aucun temps mort, en revanche, il faudra vous accrocher pour supporter les nombreux décès de personnages importants et attachants. Comme toujours dans ses œuvres, l’auteur dépeint un paysage tristement réaliste de ce que serait la société sans règles. Ainsi, Gaïa devient le méchant qui unit tous les autres personnages (et oui, même Caine et Sam ^^). Elle fait preuve d’une cruauté et d’horreurs dont seul Drake s’était montrées capable jusque là. Les dernières révélations sont dévoilées, ainsi que la vie des survivants après la sortie de la Zone. Mais comme je l’ai déjà précisé, ce n’est pas sans sacrifices, ce qui ne manquera pas de toucher le lecteur qui s’est immanquablement attaché aux héros (et parfois anti-héros) de ces romans. « Gone » était une superbe aventure, qui se conclut un peu à la manière d’« Animorphs » laissant derrière elle un goût de satisfaction… teintée de tristesse. Bravo !
Lien direct : Editions PKJ