Les Montréalais d’Arcade Fire reviennent sur le devant de la scène internationale avec leur quatrième album studio, Reflektor. Le groupe revient avec le titre du meilleur groupe rock du monde en exercice ! Pour son retour, le groupe avait pas mal de pression sur lui, le groupe à quand même pris des risques avec,Reflektor, ce qui est déjà très rock dans l’esprit ! Les canadiens auraient pu rester dans la configuration : hymnes avec de grosses guitares, violon et tout le monde chantes en cœur ! Non, la bande rock de Montréal s’invite dans les dances-floor du monde entier ! Là, où nous les attendions le moins !
Reflektor, est un album qui impulse un groove diabolique à notre corps et relègue loin les violons jusque-là très associés aux emphases des Montréalais. il faut dire que le groupe nous avaient préparé à l’idée que l’album allait être groovy, que ce soit dans la communication autour du disque, une promo réussie avec un clip interactif sur un morceau co-produit par James Murphy de LCD Soundsystem avec une apparition de David Bowie. Joli coup. La venue de deux habitués de l’électropopdisco sur ce premier extrait n’était vraiment pas qu’un simple coup marketing, mais venais présenter la direction musicale prise par le groupe pour cet album. L’énorme point positif de,Refllektor, est qu’il y a tout au long du disque des sonorités très empruntées aux caraïbes. De passage sur l’île, Win Butler expliquai d’ailleurs que des rencontres avec des groupes locaux avais changé à jamais sa vision de la musique. L’album est ainsi rythmé de percussions africaines et de sons vaudous hallucinants qui déroute au début et rend malade par la suite 
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