Terre des ours
Terre des ours : La péninsule de Kamchatka, terre des légendes à l'état sauvage et royaume des ours bruns, voit évoluer en son sein cinq d'entre eux : une mère et ses deux petits, un adolescent et un mâle aguerri.
Chacun a ses préoccupations : la mère doit nourrir et protéger les oursons, qui, eux, ne veulent qu'explorer le monde avec la naïveté et l'inconscience de la jeunesse. L'adolescent doit trouver sa place dans le monde adulte et imposer son territoire. Enfin, le mâle imposant doit constamment défendre sa suprématie et imposer sa force.
Terre des ours est le premier film documentaire de cinéma en 3D-relief tourné avec des animaux sauvages, en pleine nature. Cette première a constitué un véritable défi humain, technologique et artistique auquel ont largement contribué James Cameron et Vince Pace à travers leur société CPG.
La péninsule du Kamchatka. La Terre des Ours. Plongés dans l’hiver glacé, 20.000 ours se tiennent à l’abri, dans leur tanière. Parmi eux, un jeune ours : il a passé son premier hiver tout seul, sans sa mère, ni sa soeur. Inexpérimenté, il ne s’est pas assez nourri avant l’hiver et la faim lui a fait quitter sa
tanière beaucoup trop tôt.
Il entame alors un grand voyage qui le mènera des sommets enneigés à l’irréelle Vallée des Geysers, des grandes rivières jusqu’à l’immense Lac Kourile, la plus grande concentration d’ours au monde. Il retrouvera sa soeur mais pour être presqu’aussitôt séparé. Il croisera une mère et ses petits, qui lui rappellent tant la chaleur de cette vie de famille qu’il ne connaitra plus. Et des milliers d’autres ours encore qui se trouveront rassemblés autour des millions et des millions de saumons qui remontent les rivières et dont leur survie dépend.
Car l’hiver approche à nouveau et chacun va devoir repartir de son côté.
Ainsi va la vie en Terre des Ours.
Terre des ours est réalisé par Guillaume Vincent : Bonobos (2010), Mêche blanche, les aventures du petit castor (2008), La citadelle assiégée (2006) avec Marion Cotillard.
Pyrénées, terre des ours
Pas besoin d'aller au Kamchatka. Les Pyrénées sont un terre d'ours, si on les laisse y vivre, si on accepte de partager la montagne, si on protège sa biodiversité. Pour cela, il faudrait que les hommes politiques facent preuve d'un peu de courage et pas seulement d'opportunisme politique à court terme. Que la France respecte ses engagements et son patrimoine.
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