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Trous de vers et sauts quantiques:

Par Guimond

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Pour avoir eu des expériences de voyages à travers ces trous de vers, il m’est resté la solide impression que c’est ainsi que nous quittons cette planète vers notre prochaine destination.

Comme en une légère transe, légère ponction de morphine nous glissons dans le canal et c’est franchement tripant de le faire, sauf que rendu à l’autre bout – dépendant d’où nous allons – cela peut être assez surprenant, suffisamment pour nous pousser à revenir illico à l’ici-même!

Après avoir épluché les 333 peaux de la peur, le truc est de désirer apprendre à naviguer à tout prix dans l’autre dimension, ou réalité parallèle… Cela doit devenir une priorité. Regarder de l’avant!

Il m’est aussi apparu que nous savons créer nous-mêmes des univers, et que nous pouvons ainsi vivre dans plusieurs univers à la fois. En fait c’est que nous faisons présentement sauf que très peu d’entre nous le font consciemment.

Aussi, de la même manière que cela est expliqué dans quelques ouvrages: La création est construite de ‘densités’, qui sont accessibles seulement quand notre fréquence vibratoire est capable de monter dans notre acceptation de la lumière (vérité), et ces densités sont le plan ‘vertical’, comme dans 1=minéral, 2=végétal, 3=animal, 4=créateur, 5=espace de transition entre densités, récapitulation et préparation de la prochaine incarnation, puis 6=pensée pure (regroupements) et la grande finale ou le renouveau 7=union parfaite avec le Tout!

Cela dit, sur le plan horizontale, il y autant de dimensions que les créateurs en désirent! Bref, nous sommes le figment de l’imagination de quelqu’autre entité, vibrant au-dessus de nous, plus proche du grand tout. Je sais que cette idée a tendance a être mal reçue, aussi, je suis de l’opinion que cet autre entité qui m’imagine est simplement une version améliorée de moi! L’ange, le démon, moi?!"

Expérience du trou de vers, en 2010

Petite expérience qui se termine pour moi en point d’interrogation: et si un de vous lecteur a des mots à coller à ce phénomène, ou des nuances à apporter à ma perspective, je serais heureux de les lire! Ici quand j’utilise le terme de "moi" ou de "je" c’est en m’adressant au moi ‘élargi’ au moi ici présent et aux moi parallèles, qui incluent tous les autres car en bout de ligne nous redevenons tous UN!

Il y a un seul amour, une unique vérité. Deux personnes ne verront jamais la même chose mais tout infiniment unitaire. Et cela, si vous êtes à lire un de mes textes, vous le ressentez de plus en plus, comme une courbe d’apprentissage qui nous tire, qui aplanit nos coins rasoirs, et rend notre véhicule plus ‘cosmodynamique’ dans l’ensemble des manifestations de l’âme, sur les infinis miroirs de la perception.

Un après-midi de l’hiver 2010, période durant laquelle j’en étais à ma deuxième année d’étude de la Kabbale avec un groupe sur Montréal affilié à des Kabbalistes en Israël, et pendant laquelle l’intensité de la quête et la profondeur des questions avait déjà donné lieu à des phénomènes inusités de la perception.

Dont une période en institut psychiatrique, de mon propre gré. Déchirer le voile ne fait pas toujours plaisir à la mariée. La réalité élargie doit s’installer doucement chez celui qui l’a choisi. La lumière doit se faire à petites doses. Peut-être en avais-je trop demandé?

Toujours est-il que lors d’une période assez tranquille, cet après-midi là, je lisais puis tout à coup je me suis senti si fatigué comme si j’allais m’évanouir. Pourtant d’une nature assez forte malgré mon frêle cadre en apparence, je me suis assis sur le divan. Quelques secondes plus tard, je tombais en une légère transe, lors de laquelle tout autour a disparu, puis je me suis senti glisser, puis je me suis vu, et senti et entendu glisser dans un trou de vers comme au cinéma.

Au bout d’une – ce qui m’a semblé – longue chute, j’ai émergé dans un espace noir absolu, avec aucun point de repère, rien! Mon esprit a tenté de s’orienter mais cela m’est apparu rapidement impossible. Je percevais que ce n’était plus dans un corps que cela se passait, seulement des ondes me parvenaient, comme un léger bercement, des vibrations très subtiles. Pas de mots, rien de visuel, le noir total.

Avant de revenir à mon corps, j’ai eu la présence d’esprit de poser une question (alors que j’aurais du en avoir une douzaine sur le bout des lèvres, franchement!), j’ai seulement demandé:

- Quel est ton nom.
- Treize!, fut la seule réponse.

Puis à une vitesse accélérée j’ai refait le passage dans le trou de vers. Au début dans le noir, tournoyant sur moi-même, puis la lumière apparut, je reconnus mon corps qui virevoltait. Puis vlan! J’étais assis dans mon corps sur le divan.

Une dizaine de minutes plus tard, le téléphone a sonné, c’était Paul, un ami avec qui j’étudiais la Kabbale en groupe une fois par semaine. Avec son accent, il me dit, tu ne croiras pas ce qui vient de m’arriver?

- Raconte!, lancé-je.

- Je crois que je viens de naître spirituellement!

- Wow! Raconte!

Et il me raconta avec moult détails qui m’avaient échappé le même voyage dans le trou de vers que je venais de vivre. À cette différence que Paul, est resté plus longtemps dans le noir, et il a même insisté pour rencontrer quelqu’un!

- C’est de là-bas que nous agissons en pensée pour créer les mondes et univers, je crois!, a-t’il fini par conclure. Nous dans le future sauf que là le temps n’est pas le même, tout est simultanée!

http://www.livescience.com/41639-quantum-entanglement-links-wormholes.html


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