Quatrième de couverture :L'action se déroule en 34, 39 et 45, sur les bords d'un lac du New Jersey où Einstein, résidant à Princeton, a ses habitudes. La dramaturgie s’alimente de dialogues avec un vagabond qui squatte dans les parages. En 39, Einstein adresse à Roosevelt sa fameuse lettre où il l'informe que les Nazis cherchent à obtenir l'arme nucléaire à partir de ses découvertes. Roosevelt déclenche alors le « projet Manhattan » qui aboutira à la bombe A et, plus tard, à Hiroshima. Tourmenté, Einstein multiplie les appels au pacifisme et au désarmement. On l'accuse de faire le jeu de l'Allemagne, voire de Moscou, qui prépare aussi sa bombe. On le tient pour un dangereux utopiste, un traitre. Le F.B.I. le surveille, sans oser l'expulser. L'explosion d'Hiroshima, dont il est le lointain responsable, sera pour ce non-violent qui rêvait de paix universelle, un déchirement. Au cours de ces conversations passionnées, parfois bouffonnes, sombres ou chimériques, revit toute l'histoire scientifique et politique du terrible XXe siècle. Dans cette comédie intelligente et grave, drôle parfois, Eric-Emmanuel Schmitt imagine le conflit moral d’un homme de génie, inventeur malgré lui de la machine à détruire le monde.
Magazine Culture
La trahison d'Einstein, Eric-Emmanuel Schmitt
Publié le 15 décembre 2013 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: Eric-Emmanuel Schmitt
Titre Original: La trahison d’Einstein
Date de Parution : 15 janvier 2014
Éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 162
Prix : 12,00€ 11,40€
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La trahison d'Einstein
Quatrième de couverture :L'action se déroule en 34, 39 et 45, sur les bords d'un lac du New Jersey où Einstein, résidant à Princeton, a ses habitudes. La dramaturgie s’alimente de dialogues avec un vagabond qui squatte dans les parages. En 39, Einstein adresse à Roosevelt sa fameuse lettre où il l'informe que les Nazis cherchent à obtenir l'arme nucléaire à partir de ses découvertes. Roosevelt déclenche alors le « projet Manhattan » qui aboutira à la bombe A et, plus tard, à Hiroshima. Tourmenté, Einstein multiplie les appels au pacifisme et au désarmement. On l'accuse de faire le jeu de l'Allemagne, voire de Moscou, qui prépare aussi sa bombe. On le tient pour un dangereux utopiste, un traitre. Le F.B.I. le surveille, sans oser l'expulser. L'explosion d'Hiroshima, dont il est le lointain responsable, sera pour ce non-violent qui rêvait de paix universelle, un déchirement. Au cours de ces conversations passionnées, parfois bouffonnes, sombres ou chimériques, revit toute l'histoire scientifique et politique du terrible XXe siècle. Dans cette comédie intelligente et grave, drôle parfois, Eric-Emmanuel Schmitt imagine le conflit moral d’un homme de génie, inventeur malgré lui de la machine à détruire le monde.
Quatrième de couverture :L'action se déroule en 34, 39 et 45, sur les bords d'un lac du New Jersey où Einstein, résidant à Princeton, a ses habitudes. La dramaturgie s’alimente de dialogues avec un vagabond qui squatte dans les parages. En 39, Einstein adresse à Roosevelt sa fameuse lettre où il l'informe que les Nazis cherchent à obtenir l'arme nucléaire à partir de ses découvertes. Roosevelt déclenche alors le « projet Manhattan » qui aboutira à la bombe A et, plus tard, à Hiroshima. Tourmenté, Einstein multiplie les appels au pacifisme et au désarmement. On l'accuse de faire le jeu de l'Allemagne, voire de Moscou, qui prépare aussi sa bombe. On le tient pour un dangereux utopiste, un traitre. Le F.B.I. le surveille, sans oser l'expulser. L'explosion d'Hiroshima, dont il est le lointain responsable, sera pour ce non-violent qui rêvait de paix universelle, un déchirement. Au cours de ces conversations passionnées, parfois bouffonnes, sombres ou chimériques, revit toute l'histoire scientifique et politique du terrible XXe siècle. Dans cette comédie intelligente et grave, drôle parfois, Eric-Emmanuel Schmitt imagine le conflit moral d’un homme de génie, inventeur malgré lui de la machine à détruire le monde.