Un fou dangereux en liberté sur I Télé (extrait)
Je signale à tous les téléspectateurs un individu qui peut porter atteinte à l’ordre public et qui est encore plus dangereux que Dieudonné M’Bala M’Bala. Il n’est pas nègre, mais il ne vaut guère mieux. Il éructait, il se frappait la tête sur la table, il était dans l’impossibilité d’aligner deux mots, et en plus il était socialiste. Mais sans le dire. Il s’agit pourtant d’un individu qui se qualifie lui-même de philosophe. Manifestement, cet individu est en proie à des terreurs nocturnes, peut-être à des incontinences d’urine. Je tiens à éviter des traumatismes à mes contemporains, aussi je veux les mettre en garde contre les agissements de cet ignoble personnage, qui est strictement incontrôlable. La question est d’abord de savoir s’il est armé. Il s’agit du nommé Finkielkraut.
Il participait à ce qu’il est convenu d’appeler un débat, sur une chaîne dépendant de Canal +. Or il était affronté au dessinateur Plantu, auquel il coupait la parole, le laissant sans voix. Les traits du visage de ce prétendu philosophe manifestaient une forme d’hystérie, avec de nombreux tics, tandis que sa bouche ne parvenait à répéter que ce seul mot : M’Bala M’Bala. Les spécialistes en psychiatrie, appelés en urgence, ont diagnostiqué un type de folie assez répandu dans les milieux gouvernementaux, « le complexe du nègre en brousse ». Mais ce Finkielkraut peut se rencontrer en France métropolitaine, plutôt dans les quartiers aisés de la capitale. Il ne s’agit donc pas d’une carence alimentaire comme on en voit trop souvent chez les nègres pauvres, que l’on soigne habituellement à la mitraillette.
Ce prétendu philosophe, attention, peut disposer d’une machette ! Avec laquelle il est bien capable, dans l’exacerbation d’une crise, de couper les bras qui dépassent. J’ajoute qu’il n’est pas accessible à la langue française, ni à aucun autre dialecte africain. Peut-être comprend-il mieux les langues Moyen-Orientales ? L’Hébreu par exemple ? En tout cas il n’est pas attiré par les langues arabes. Il éprouve même une haine évidente pour ce Monsieur M’Bala M’Bala, et cela se traduit par des jets de bave américano-israëlienne, ainsi que par des mouvements désordonnés. Le patient (si on ose le qualifier ainsi) allonge alors ses longs bras velus vers des destinations variables, imitant la colère des anciens esclavagistes à qui un nègre aurait échappé.
En face, le dessinateur Plantu conservait son calme et défendait une notion bien oubliée aujourd’hui, la liberté d’expression. Il avait du mérite, ce Plantu, de descendre dans la cage aux fauves ! Il tentait de raisonner le malade mental en lui lisant la fameuse phrase de Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ». Aujourd’hui, des érudits contestent la formule exacte parce que ce sont des trous du cul qui s’attachent à la lettre et non à l’esprit. D’ailleurs Plantu s’était contenté d’écrire le mot « Voltaire » dans sa main.
Lire l'article en intégralité ici: http://elize-chanson.over-blog.com/article-un-fou-dangereux-en-liberte-sur-i-tele-122008188.html