Si il y a bien un pays qui ne m’a jamais transcendée… c’est pas forcément le Portugal. (Le twist de maboule.)
Cependant, cette destination prisée des bobos de sous-marque est le berceau des quatre membres de Dreamweapon. Et à lui seul, ce fait contrebalance les trois quarts de mes préjugés à la con.
La formation compte apparemment un cinéaste dans ses rangs et le souci apporté au pendant visuel des compositions agrémente leur psychédélisme monastique d’une pointe de malaise pas mal venue.
Par ailleurs, le parcours de Dreamweapon, jalonné de démos, va bientôt connaître un tournant plus tangible avec la sortie prochaine de leur premier EP (déjà disponible en version digitale) en vinyle et CD dont est issu, « Let It Shine ».