Bonjour les gens et bienvenue de nouveau dans ce monde d’injustice et de courts-bouillons… (Si jamais vous n’aviez pas compris, j’ai regardé les BAFTAs hier soir, et Rush n’a rien raflé du-tout. Je suis vénère.)
Bref, en ce lundi pluvieux (comme depuis moultes jours, surtout en Bretagne), j’avais envie de vous parler de l’un des seuls "vieux" films que j’aime de tout mon coeur et mon amour.
Parce qu’il y a Audrey Hepburn dedans.
Et pas parce que c’est encore une des traductions les plus pourries du cinéma. Breakfast at Tiffany’s (qu’on m’explique d’où vient le Diamants sur canapé, et vite!)
Breakfast at Tiffany’s raconte l’histoire d’Holly Golightly, jeune femme obsédée par Tiffany’s, grande enseigne de luxe de New York. Elle rencontre son nouveau voisin, Paul, qui ne tarde pas à tomber sous son charme même si elle le repousse sans savoir. Elle planifie d’épouser un homme riche pour pouvoir entrer chez Tiffany’s, mais Paul, qu’elle a surnommé Fred, s’y oppose et tente par tous les moyens de gagner son coeur…
Oh misère… D’habitude, ce genre de scénario, je n’aime vraiment pas. Mais ici, je sais pas, l’attrait nostalgique des années d’or, le minois d’Audrey, je sais pas…
J’AI CRAQUE!!!
Au point que les tenues de la demoiselles sont devenues mythiques, que son personnage d’Holly soit désormais un classique, et que ce soit elle qui soit présente sur la quasi totalité des objets de décoration estampillés Hepburn.
Et puis…Cat.
Bref, je ne saurais pas trop m’égarer sur ce film, vu que je ne l’ai vu que deux fois, mais chaque fois avec un sourire aux lèvres face à un jeu parfait et à une histoire pleine de bons sentiments comme c’est rare de nos jours. (Vraiment trèèèèès rare.)
Je plussois le retour des films d’Audrey à la mode.
Note: 7,75/10 (scénario: 6/10 (faut pas déc’ non plus) – jeu: 10/10 – BO: 8/10 (mignonne quand même) – immuabilité: 7/10)