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La faim, toujours la faim

Publié le 19 mars 2014 par Tribul

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Ce blog ne va pas devenir une ode à Zermati mais je pense qu’en écrivant régulièrement sur mes non progrès, j’y vois un peu plus clair sur mes blocages et autres…

Je reviens donc une nouvelle fois vous parler de la faim. Car oui, j’en suis encore à tenter de respecter ma faim et moi qui pensais passer déjà à l’étape satiété, je dois me rendre à l’évidence, ça va me prendre plus de temps que prévu.

Il faut donc que je relâche la pression sur mon timing qui me permettrait de voir déjà des résultats…

Je sais que cette méthode demande du temps et qu’une douzaine d’années de régime et de restriction cognitive ne s’envolent pas si facilement.

Alors où ça bloque ? Déjà, il est très dur pour moi de ne pas manger. Et je me rends bien compte que je pourrais facilement tenir toute la journée en me passant de mon petit-dej et en mangeant quelques cuillerées le midi et le soir. Moi qui adore bouffer, c’est une dure réalité que de me séparer de cette quantité astronomique de nourriture que j’avalais.

Où ça fonctionne ? Je me passe très bien du petit-déjeuner (enfin, la semaine car le week-end…). J’avale un jus de fruits, mon café et je pars bosser sans que cela me demande un suprême effort.

Je suis occupée donc cela est facile. Le soir et les week-ends de fainéantise, par contre, sont difficilement gérables. Je sais bien que je n’ai pas faim. Je le sais. Je me le dis. Je sais quelles en sont les conséquences (devoir attendre avant de remanger à nouveau) mais c’est plus fort que moi.

La nourriture gagne presque à chaque fois. Evidemment, je me félicite lorsque c’est moi qui gagne et qui défie la bouffe. Mais elle est plus forte que moi à bien des occasions.

Elle gagne lorsque je suis oisive, que je n’ai pas de projets précis pour le week-end, lorsque je ne suis pas occupée…

Je n’arrive pas vraiment à ressentir les émotions qui me font me jeter sur la nourriture. L’ennui je suppose. L’anxiété de ne pas arriver à me contrôler également.

Il va donc falloir que je trouve des dérivatifs et surtout que je sois un peu plus ferme avec moi-même.

J’ai déjà vaincu une bonne part de mes angoisses, pourquoi n’y arriverais-je pas avec le bouffe !

Je ressens aussi de la colère contre moi-même lors de ces laisser-aller.

Je sais bien que ni mon médecin ni Zermati ne me culpabiliserait de ne pas y arriver à chaque fois et que l’auto-flagellation n’est pas au programme mais merde, je peux le faire !!!!

Ce qui m’avait fait arrêter le programme Line Coaching était la quantité de carnets alimentaires à remplir. Cependant, je pense que de noter, non pas ce que je mange comme j’en avais l’habitude, mais dans quelles conditions je mange est un bon exercice.

Un bon exercice qui m’obligera à noter avant le repas mes sensations.

Il faut que sois un peu plus stricte et que je m’y tienne, en particulier avant d’engloutir toute nourriture.

Je vous joins le Tableau si cela intéresse certaines (il est tiré du livre Maigrir sans régime de Zermati).


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