Quatrième de couverture :Nathanaël a la vie rêvée : créatif dans une agence de communication, a un très bon salaire, travaille avec des amis, vient en short au bureau, les yeux encore gonflés des excès de la veille. Quand sa boîte ferme brutalement, il tombe de très haut. Et décide d'assumer son nouveau statut : il est bomeur, "un mec qui avait un boulot cool et qui, une fois au chômage, essaie de rester cool'. Son quotidien ? Lever à 11 heures après trois alarmes iPhone, déjeuner avec un ami qui bosse, café pour discuter d'un plan avec un pote graphiste, petite sieste, tour aux ventes privées Nike et déjà, il est 17 heures, l'heure de l'apéro, histoire de faire monter la pression avant d'aller mixer au Nuba. Il assure à ses proches qu'il s'apprête à se lancer en freelance sur des projets "ultra-confidentiels-tu-comprends-je-ne-peux-pas-en-parler". La vérité ? Une addiction à Facebook, au Ricard, au rafraîchissement de sa boîte mail et aux textos "Tu fais quoi?" Car en réalité , sa vie est moins rose qu'il le montre. Auprès des filles, se déclarer chômeur, c'est moins efficace que "directeur de créa". Ses parents s'inquiètent, ses amis construisent leur vie, et Monsieur Pôle Emploi parle une langue étrangère... Pas facile d'être un bomeur heureux.
Magazine Culture
Le Bomeur, une vie de bobo chômeur, Nathanaël Rouas
Publié le 27 mars 2014 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: Nathanaël Rouas
Titre Original: Le Bomeur, une vie de bobo chômeur
Date de Parution : 13 mars 2014
Éditeur : Robert Laffont
Nombre de pages : 262
Prix : 18,50€ 17,58€
Commandez:
Le bomeur
Commandez:
Le Bomeur (Version Kindle) 12,99€
Quatrième de couverture :Nathanaël a la vie rêvée : créatif dans une agence de communication, a un très bon salaire, travaille avec des amis, vient en short au bureau, les yeux encore gonflés des excès de la veille. Quand sa boîte ferme brutalement, il tombe de très haut. Et décide d'assumer son nouveau statut : il est bomeur, "un mec qui avait un boulot cool et qui, une fois au chômage, essaie de rester cool'. Son quotidien ? Lever à 11 heures après trois alarmes iPhone, déjeuner avec un ami qui bosse, café pour discuter d'un plan avec un pote graphiste, petite sieste, tour aux ventes privées Nike et déjà, il est 17 heures, l'heure de l'apéro, histoire de faire monter la pression avant d'aller mixer au Nuba. Il assure à ses proches qu'il s'apprête à se lancer en freelance sur des projets "ultra-confidentiels-tu-comprends-je-ne-peux-pas-en-parler". La vérité ? Une addiction à Facebook, au Ricard, au rafraîchissement de sa boîte mail et aux textos "Tu fais quoi?" Car en réalité , sa vie est moins rose qu'il le montre. Auprès des filles, se déclarer chômeur, c'est moins efficace que "directeur de créa". Ses parents s'inquiètent, ses amis construisent leur vie, et Monsieur Pôle Emploi parle une langue étrangère... Pas facile d'être un bomeur heureux.
Quatrième de couverture :Nathanaël a la vie rêvée : créatif dans une agence de communication, a un très bon salaire, travaille avec des amis, vient en short au bureau, les yeux encore gonflés des excès de la veille. Quand sa boîte ferme brutalement, il tombe de très haut. Et décide d'assumer son nouveau statut : il est bomeur, "un mec qui avait un boulot cool et qui, une fois au chômage, essaie de rester cool'. Son quotidien ? Lever à 11 heures après trois alarmes iPhone, déjeuner avec un ami qui bosse, café pour discuter d'un plan avec un pote graphiste, petite sieste, tour aux ventes privées Nike et déjà, il est 17 heures, l'heure de l'apéro, histoire de faire monter la pression avant d'aller mixer au Nuba. Il assure à ses proches qu'il s'apprête à se lancer en freelance sur des projets "ultra-confidentiels-tu-comprends-je-ne-peux-pas-en-parler". La vérité ? Une addiction à Facebook, au Ricard, au rafraîchissement de sa boîte mail et aux textos "Tu fais quoi?" Car en réalité , sa vie est moins rose qu'il le montre. Auprès des filles, se déclarer chômeur, c'est moins efficace que "directeur de créa". Ses parents s'inquiètent, ses amis construisent leur vie, et Monsieur Pôle Emploi parle une langue étrangère... Pas facile d'être un bomeur heureux.