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Captain America: The Winter Soldier

Par Bigreblog

Salut les gens!

Eh oui, un article après la tombée du jour, et ce pour de bonnes raisons!

Je sors tout juste de la salle obscure, et je suis allée me pencher sur le cas Collants bleus et caractère de parfait ptit Monsieur d’intérieur énervant. Looooongue phrase, je sais, habituez-vous.

Habituez-vous aussi tout de suite à ce que je fasse des éloges à ce film. Oui, habituez-vous, parce qu’après ça, je recommence à haïr Natasha Romanoff et Steve Rogers (si, je vous jure).

Review garantie sans spoilers!

Steve Rogers, plus connu sous le sobriquet de Captain America, a toujours du mal à s’intégrer dans notre société, malgré l’amitié que lui porte Black Widow, avec qui il part très souvent en mission. Un jour, une de ces missions s’avère être assez…compliquée, et engendre un attentat sur la personne de Nick Fury. Quant au mystérieux Winter Soldier, il semble n’apparaitre qu’aux moments les plus opportuns, ne laissant derrière lui que des cadavres…

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Bon, commençons tout de suite les hostilités par ce qui est le gros défaut de cet opus: la lenteur. Le film étant scindé en trois parties, il faut à chaque fois attendre que chaque partie se mette en place avant que quelque chose d’intéressant ne se passe. C’est ce que j’ai le plus à déplorer, soyez contents.

A part peut-être cette abomination qu’a été le changement de doublage, abominable, affreux, contre nature. Je ne cautionne absolument pas de changer la voix de trois personnages bien ancrés dans le système des fans: Cap, Chacha, et Maria Hill. NON.

A part ça, donc, tout va bien ou presque dans le meilleur des mondes ou presque.

La leçon a retenir de ce deuxième opus serait donc: "Ne faites confiance à personne, vous êtes épiés en permanence." Et quand on sait que le scandale de la NSA a éclaté en plein tournage, on se dit que c’est vraiment à prendre au pied de la lettre.

Passons aux personnages, maintenant, qui prennent en galons maintenant qu’ils sont moins nombreux que dans Avengers et que l’on apprend donc à aimer (*cough cough* J’ai mal).

Steve Rogers d’abord. Il essaie tant bien que mal de s’acclimater à cette époque pourrie, et en tant que vétéran, ce n’est vraiment pas facile.

Aïe, j'ai mal aux collants...

Aïe, j’ai mal aux collants…

Surtout quand Natasha Romanoff essaie de vous caser avec toutes les gonzesses qu’elle sait être dans votre entourage. Le fait qu’elle joue avec la naïveté toute mignonne et hors-temps de Cap donne d’assez jolies scènes.

J’ajouterai dans la dernière phrase élogieuse au sujet de ces deux personnages que d’habitude j’abhorre, c’est que le couple Chris Evans-Scarlett Johansson passe plutôt bien. Même très bien, en fait.

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Nick Fury en prend aussi pour son matricule. Notre directeur préféré va apprendre qu’il ne doit faire confiance à personne, et ça va sans doute faire très mal aux valeurs…

Et notre nouvelle addition, badass, c’est Sam Wilson, aka le Faucon, qu’on ne présente comme tel qu’à trois-quarts du film, ce qui n’empêche pas notre nouveau sidekick (qui n’en est pas un, franchement, il est plus bestfriend que sidekick, mais passons) d’en balancer de la grosse classe dès sa première scène.

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(Comment ça je ne suis pas objective quand je parle d’Anthony Mackie? Menteurs!)

Je ne serais pas la fille de ma mère si je ne parlais pas de Robert Redford. On ne se paie pas un monument pareil pour en faire des allumettes. Et on cue. Il vous étonnera (ou peut-être pas), mais il prend vraiment très bien la relève de quelqu’un que nous aimons tous (surtout moi, elfe de la forêt noire).

Mais je ne serais pas moi si je ne jetais pas une gerbe de fleurs magiques à Sebastian Stan, qui une fois de plus a juste été parfait. Et pourtant, il ne parle pas beaucoup. Mais tout passe par le regard. Les conflits, l’amnésie, la torture que ressent son personnage, tout passe par les espèces de saloperies bleues qu’il a sur son visage.

J’ai besoin d’une douche. Froide la douche.

(Et pourquoi des fleurs magiques, me direz-vous? Ben, pour qu’il apparaisse dans mon lit et pas dans celui de Jennifer Morrison. Na.)

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Bref, les enfants, une suite bien meilleure que le premier opus, avec de quoi réfléchir et de quoi moins réfléchir. Mais c’est ce qu’on aime chez Marvel.

Surtout qu’on a un bon clin d’oeil à ceux qui lisent les comics en scène post-générique. ;)

Note: 7,75/10 (scénario: 8/10 (vraiment, tout est pensé au millimètre près)jeu: 8/10BO: 7/10 (à force, les répétitions, ça devient lassant)suite: 8/10)

Finalement, y a aussi un truc qui m’a chiffonné. Quand Washington est dans la merde, je pense qu’il n’y a pas à chipoter: t’appelle Iron Man pis c’est tout. :D



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