Hello readers!
J’entame ma dernière semaine de stage avant les "vacances" (qui vont plutôt rimer avec travail cette fois-ci, au vu de la montagne de travaux à faire pour la HE), ce qui veut dire que je suis joie et heureuse que le soleil ait pointé le bout de son nez-nez.
Surtout que ça veut aussi dire que dans six jours, Game of Thrones revient. Vous n’imaginez pas mon excitation.
Bref. Aujourd’hui lundi, j’avais envie de vous parler d’une adaptation qui était assez efficace et loyale, et qui pourtant n’a pas fait l’unanimité du tout. Why, I don’t know.
Oui, aujourd’hui, je vous parle d’Eragon.
Eragon, c’est tout d’abord le héros de notre histoire. Jeune fermier sans histoire, il est en train de chasser le jour où il découvre une mystérieuse mais magnifique pierre bleue. Qui s’avère bien vite être un oeuf de dragon, qui éclot sous ses yeux. Saphira, la ravissante dragonne bleue qui éclot pour lui, fait d’Eragon son Dragonnier, caste éteinte depuis près d’un siècle depuis que le roi Galbatorix l’Usurpateur les a fait massacrer. Eragon est en danger et doit rapidement quitter son village natal pour se joindre, avec Saphira, à la rébellion…
Christopher Paolini avait écrit ce premier tome alors qu’il n’avait que quinze ans. Je ne sais pas ce qu’il vous faut de plus pour vous convaincre que cette histoire est géniale.
Au niveau de scénario, il n’y a pas grand-chose à redire. Certains raccourcis sont utiles à la dynamique du film et ne dérange pas outre mesure le lecteur (selon moi, hein, qui ai bouffé ce bouquin en deux jours).
Comme la croissance accélérée de Saphira, pas dérangeante outre mesure pour moi…
Par contre, ce sont les choix au niveau du casting qui auraient pu déranger (et qui l’ont fait, j’en suis sûre).
Alors oui, j’approuve totalement le choix de mon chéri Jeremy Irons pour incarner Brom, le mentor ancien-Dragonnier (et qui s’avérera dans le troisième tome encore plus que cela). Mais excusez-moi, dans le livre, Brom ressemble à un vieillard inoffensif. Pas à…un sex god. Voilà.
Arya ensuite. Là par contre, j’approuve absolument pas le casting de Sienna Gillory. Je trouve qu’elle joue comme une clinche. En plus, Arya est sensée être canon à en crever, magnétique et presque trop belle pour être vraie (ce que tous les elfes sont, d’ailleurs). Et elle a les cheveux NOIRS!
Angela, enfin. Un des personnages les plus badass des romans, transformée à l’écran en chanteuse de pop (Joss Stone, au cas où) défoncée à l’acide. Pitié…
Là où j’ai été assez contente (tu m’étonnes, John), c’est à l’apparition de mon Robert Carlyle préféré en Durza, le gros vilain méchant Ombre. (Moi, je m’en balance, même avec les cheveux rouge j’le kiffe).
Et Rachel Weisz pour faire la voix de Saphira. J’approuve aussi.
En fait, ce qui aurait pu gêner, sans doute, c’est que ce film, en tant que premier opus, est assez lent pour qu’on s’ennuie par moments. Ô désespoir intense.
Enfin, je ne sais pas trop en fait, puisque moi j’ai apprécié. Dites-moi, vous. ;)
Et j’ajouterai que Garrett Hedlund en Mumurtagh…m’a fait faire de très beaux rêves pendant longtemps. :D
Note: 7,25/10 (scénario: 7/10 - jeu: 7/10 – BO: 7/10 – adaptation: 8/10)