Lundi 31 Mars
Grand Palais :
18H30 : Cycle Compulsif : L’addiction au sexe, une nouvelle pathologie ?
Activité sexuelle obsessionnelle, Hypersexualité, Addiction ou assuétude au sexe, Nymphomanie … comment qualifier Dom Juan quand il devient « accro » ? Le sexe est-il quantifiable ? En France, depuis la sulfureuse « affaire DSK » les langues se délient sur cette forme d’addiction qui toucherait une part non négligeable de la population. Alors, réelle drogue ou nouveau sujet de société ? La pornographie gratuite sur internet a-t-elle amplifié ce phénomène ? De Shame à Nymphomaniac en passant par le plus confidentiel The Slut, le septième art brise-t-il les codes et les tabous ?
Avec Vincent Estellon, maître de conférences à l'Institut de Psychologie, Université Paris Descartes, psychologue clinicien et auteur aux PUF ; Florence Sandis, auteur et journaliste-réalisatrice ; Thomas Sotinel, responsable culture, lemonde.fr.
Téléchargez l’invitation gratuite sur: http://www.digitick.com/cycle-compulsif-l-addiction-au-sexe-une-nouvelle-pathologie-expo-galeries-nationales-paris-31-mars-2014-css5-rmn-pg101-ri2317084.html
Mardi 1er Avril
Cité de la musique :
19h30 : Musiques des diasporas africaines
Du 1er Avril au 13 Mai, Les Mardis de 19h30 à 21h30
Cycle de cinq séances qui apporte un éclairage sur les différentes diasporas africaines et les processus de déconstructions sociales et culturelles qui sous-tendent l’histoire des musiques telles que le jazz, le blues, le reggae… Il invite les participants à s’interroger sur les différentes manières d’appréhender ce phénomène, selon l’importance accordée au maintien de la culture d’origine ou à la cassure opérée par l’éloignement, ou encore aux dynamiques d’hybridation. Les conférences sont illustrées par de nombreux documents sonores et vidéo.
Intervenants: Denis-Constant Martin, ethnomusicologue; Christine Chivallon, anthropologue; Emmanuel Parent, anthropologue; Alexandre Pierrepont, ethnologue
Mercredi 2 Avril
Auditorium du Louvre :
12h30 : Trésors de l’Abbaye de Saint-Maurice. Présentation d'exposition par Elisabeth Antoine, musée du Louvre.
Tarif : 6 euros, 5 euros (réduit), 3 euros (solidarité et jeunes)
Gratuit pour les adhérents Louvre jeunes et les étudiants en art
Grand Palais :
18H30 : Projection The Eye of the heart, de Mark Kidel, 2003, 1h
Premier film à retracer le parcours de Bill Viola, The Eye of the Heart montre l’artiste au travail et propose plusieurs extraits de ses œuvres. Bill Viola s’y exprime longuement sur ses influences artistiques et certains épisodes autobiographiques déterminants, ainsi que sur son désir de faire fusionner dans son œuvre les traditions mystiques de l’Orient et de l’Occident.
En présence du réalisateur.
Invitation gratuite sur: http://www.digitick.com/bill-viola-the-eye-of-the-heart-expo-galeries-nationales-paris-02-avril-2014-css5-rmn-pg101-ri2313420.html
Quai Branly :
18H30 : Cycle de Conférences Les Grandes révoltes
Mai 68 par Boris Gobille, chercheur-enseignant en science politique à l'ENS de Lyon.
Photographie de Jean-Claude Seine
Musée d'art et d'histoire du judaïsme :
19H30 : Cycle de conférences "langues juives"
Le Judéo-grec par Nicholas de Lange, professeur émérite d’hébreu et d’études juives, université de Cambridge
Le judaïsme hellénophone est un phénomène deux fois millénaire. Déjà au troisième siècle avant notre ère, des Juifs égyptiens ornaient leurs maisons de prière d'inscriptions grecques. La traduction de la Tora en langue grecque ouvre un nouveau chapitre dans la culture des Juifs, et inspire une vaste littérature. Les découvertes de la Gueniza du Caire ont fourni des exemples de la langue parlée des Juifs byzantins et des fragments de leurs traductions des livres bibliques. Nous connaissons aussi des chants et hymnes provenant des synagogues de Grèce.
Après avoir tracé les grandes lignes des rapports des Juifs avec la langue grecque, nous demanderons si l'on peut vraiment parler d'une langue "judéo-grecque".
Traif: 6 euros/ réduit: 4 euros
Réservation par mél: [email protected]
ou par téléphone au 01 53 01 86 48
du lundi au vendredi
de 14 h à 17 h 30
Jeudi 3 Avril
Terra Foundation for the Arts:
18h : Conférence de Richard Brettell: Impressionnism and nationalism, the American case.
In this lecture, renowned scholar Richard Brettell, Margaret McDermott Distinguished Chair, Art and Aesthetics, University of Texas at Dallas, will explore themes central to the exhibition L'Impressionnisme et les Américains.
To many students of artistic modernism, “nationalism” is at war with “the modern.” And if there is a premier form of artistic modernism it is Impressionism. Yet nationalism is, paradoxically, THE modern binding medium precisely because it is an antidote to the kind of place-less adaptability that is at the core of modern mobility. The endurance—one might better say the recurrence—of this notion of shared values and ideals is absolutely essential to France, the birthplace of the movement called Impressionism, and it is precisely the ways in which the Impressionists strayed from those values that made their art unacceptable to the most nationalistic of critics and commentators who saw their exhibition in Paris in 1874. However, most Impressionist painters in France had ties with multiple nations or even origins outside the country; thus, while Impressionism was “modern,” it is not entirely true that it was “French.” What, then, do we do when we confront the words “American Impressionism?”
Gratuit et ouvert au public.. Réservation sur: [email protected]
ou au 01 43 20 67 01.
29 Rue des Pyramides, 75001 Paris
Forum des images :
19h15 : Table Ronde. Le cinéma de Marguerite Duras
Table ronde avec les écrivains Jérôme Beaujour, François Barat et Dominique Noguez, et le cinéaste Benoît Jacquot.
L’écriture cinématographique est, pour Marguerite Duras, très proche de l’écriture littéraire. Dans son oeuvre, les frontières entre roman, théâtre et cinéma vont vite se révéler perméables. Après l’adaptation de quelques-uns de ses romans par des réalisateurs tels que René Clément (Barrage contre le Pacifique, 1956) ou Peter Brook (Moderato cantabile, 1960), elle écrit le scénario de Hiroshima mon amour, réalisé par Alain Resnais. Puis, insatisfaite des adaptations de ses livres, passe derrière la caméra. De grands noms du cinéma et de la littérature évoquent un cinéma "absolument moderne", qui révolutionne l’écriture filmique, opérant "par la négation, l’exténuation et le dépeuplement", mouvement paradoxal d’autodestruction de l’écriture qui apparaît à la fois dans ses livres et dans ses films. Pourtant, aussi expérimental soit-il, le cinéma de Marguerite Duras ne quitte jamais les rives du récit.
François Barat, écrivain, a produit certains films de Marguerite Duras. Il a réalisé un film sur la cinéaste, Oublier Duras.
Jérôme Beaujour, écrivain et scénariste, est un des spécialistes du cinéma de Marguerite Duras dont il a réalisé la plupart des entretiens cinématographiques.
Benoît Jacquot, cinéaste, a été l’assistant de Marguerite Duras sur Nathalie Granger et India Song.
Dominique Noguez, écrivain et essayiste, a été proche de Marguerite Duras de 1975 à 1984. Deux de ses livres lui sont consacrés : « Duras, Marguerite » (Éd. Flammarion, 2001) et « Duras, toujours » (Éd. Actes Sud, 2009).
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Samedi 5 Avril
Cité de l'immigration. Palais de la porte doré :
16h30 : Dans le cadre de l’exposition Albums, l'illustrateur Kkrist Mirror présentera ses bandes dessinées Tsiganes : 1940-1945, le camp de concentration de Montreuil-Bellay et Gitans : le pèlerinage des Saintes-Maries-de-la-mer, publiés par Emmanuel Proust, ainsi que de l’album collectif Immigrants édité chez Futuropolis.
Ces récits poignants documentent l’histoire de l’accueil des tsiganes en France, ainsi que les conditions de vie actuelles des gens du voyage.
Une séance de dédicaces sera organisée à l'issue de la rencontre en partenariat avec la librairie de la Porte Dorée.
Kkrist Mirror est né à Saumur et vit à Paris. Illustrateur de presse (Moto Journal, Libération…), lauréat de la fondation de la vocation Marcel Bleustein, il anime des ateliers BD à Paris. Il fonde l’association Trippes Cosmiques qui édite la revue BD Cosmic Street destinée à venir en aide aux jeunes auteurs. Le collectif Amiante, chronique d’un crime social (Septième choc) auquel il participe a reçu le Prix Tournesol Angoulême en 2006.
Salle de ventes Drouot:
Le week-end des 5 et 6 avril prochains, Drouot, plus grande place mondiale de vente aux enchères publiques, organise l’événement « Destination Drouot ».
Ce sera une occasion privilégiée pour le grand public, dans le cadre des Journées Marteau, de se familiariser avec l’Hôtel des ventes parisien, de s’initier aux ventes aux enchères et au marché de l’art.
Durant ce week-end exceptionnel, les commissaires-priseurs seront à la disposition des visiteurs pour présenter l’activité et les services de Drouot. Conseils et estimations gratuites, inventaires, expertises, mise en vente d’un objet, déroulement des enchères, achat et transport des œuvres : toutes les réponses à vos questions
Grâce à « Destination Drouot », les ventes aux enchères n’auront plus aucun secret pour vous !
Programme: http://www.drouot.com/default.html?bpage=articles.Communiques&id;=3587
Gratuit sur réservation [email protected] - 01 48 00 20 50
Dimanche 6 Avril
Forum des images :
17H : Master Class Daniel Auteuil
animée par Pascal Mérigeau Critique au Nouvel Observateur, Pascal Mérigeau a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma dont « Pialat » (Éd. Ramsay, 2007), « Depardieu » (Éd. Flammarion, 2008) et « Jean Renoir » (Éd. Flammarion, 2012).
Deux césars (Jean de Florette - Manon des sources et La Fille sur le pont), un prix d’interprétation à Cannes (Le Huitième Jour), plus de 80 rôles. Et pourtant : son désir de créer est intact, son plaisir de jouer presque enfantin. Populaire au sens noble du terme, il est l’une des grandes personnalités du cinéma français.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble