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« Hallelujah bordel » de Jérémy Ferrari ou la religion pour les nuls à Rouen

Par Bourlingueur
Jéremy Ferrari_Hallelujah bordel_Frizou (1)

Quelle idée simple, mais terriblement efficace qu’a eu l’apôtre de l’humour noir de s’inspirer de phrases extraites des livres saints qu’il étudia sur les conseils d’un collègue dépressif de chez Orange, à une époque où il était en quête de spiritualité.
Heureusement pour nous, c’est le chemin de la scène de théâtre qu’il emprunta plutôt que celui de la bible.
Deux heures trente de rires mécréants après un petit quart d’heure de première partie (surprise)  de son disciple Guillaume Bats, qui pour ouvrir la messe nous rappelle preuves à l’appui que Dieu a créé l’homme à son image.
Bref, nous avons jubilé (ma « Pouzette » et moi) au Zénith de Rouen pour une de ses dernières dates, comme plus de 250 000 spectateurs à travers toute la France au cours d’une tournée de trois ans et demi. Si vous l’avez raté, rabattez-vous sur le DVD, ce n’est pas plus cher que la quête, et ça rapporte quelque chose.
Frizou & Pouzette


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