Musicalement, la partie n'est pas des plus aisées. Elle fait la part belle aux cuivres et aux percussions. Quant au chœur, on regrette de ne pas l'entendre plus car chacune de ses apparitions est inventive et étonnante. Bref, un spectacle plaisant qui sort de l'ordinaire (et c'est la première fois que j'entends autant parler d'éléphant dans un opéra) et qui fait voyager malgré l'universalité du sujet traité.
