Magazine Côté Femmes

J’y vais mais j’ai peur *

Publié le 19 mai 2014 par Cecile Berthelon @walinette

* à dire – forcément – avec la voix de Josiane Balasko.

[Billet sponsorisé]

J’ai un long, mais long passif d’épilateurs électriques. 24 ans, le passif. Le premier de la série ? Le fameux Epilady, constitué d’une boucle d’un long ressort qui tournait à toute vitesse. En gros il fallait 3 passages par poil, 1/2 h par 1/2 jambe. Je ne sais pas comment j’ai pu tenir aussi longtemps avec un tel engin de torture, l’horreur absolue, surtout pour débuter.
Désormais au niveau des jambes donc, même pas mal, après des années limite si je ne pourrais pas me satisfaire d’un examen hebdomadaire à la pince à épiler : TRANQUILLE.

Mais le reste, ça se gâte. Qué reste ? Ce qui dépasse du maillot et du dessous de bras en somme. Pilosité à laquelle au grand jamais je n’ai osé m’attaquer autrement qu’au rasoir. Chochotte. Oui, peut être. Je n’ai jamais mis le pied en institut non plus.

aquaperfect

Mais depuis j’ai reçu cet engin, là. Nouvelle génération d’épilateur qui – outre les têtes changeantes, la loupiote qui t’éclaire bien le mollet, et les picots vibrants qui calment le passage – est sans fil (oui, rien que déjà ça c’est bien) et surtout WATERPROOF.
Je ne sais combien d’années d’innovation et de brevets pour rendre l’épilation la plus indolore possible. Le point d’orgue étant dorénavant de s’en servir sous l’eau pour profiter de l’effet calmant du bain ou de la douche.
C’est donc armée de mon Calor Aquaperfect Soft anti-douleur que je suis entrée d’un pas décidé dans ma cabine de douche.
Sus au Poil. Rien que ça.

Et alors ? J’avais décidé d’opter pour l’aisselle, qui me semblait moins sensible que  le maillot. Et bien faux, le maillot est bien plus facile à faire. J’ai quasi réussi en une fois. En revanche l’aisselle reste plus douloureuse, il va me falloir plusieurs passages au bac pour en venir à bout. Mais voilà, je pense opter pour l’épilation, chose impensable pour moi il y a encore quelques semaines.
La promesse de semaines de tranquilité (allez, 2 ou 3 comparer au rasage bi-hebdo) couplé avec ce nouvel épilateur qui rend la douleur supportable vient de me faire passer le cap !


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