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pour rire et réfléchir ... (citations choisies)

Publié le 24 mai 2014 par Dubruel

Sur la vie (page 1)

Ce qu’on appelait autrefois l’âge mûr tend à disparaître. On reste jeune très longtemps, puis on devient gâteux.

(Alfred Capus)

On peut naître vieux, comme on peut mourir jeune.

(Jean Cocteau)

20 ans : Je plains celui qui n’a pas été révolutionnaire à vingt ans : c’est qu’il manque de cœur. Je plains celui qui est toujours révolutionnaire à quarante ans : c’est qu’il manque de tête.

(G. B. Shaw)

30 ans : La trentaine est un âge difficile…La vie est finie, l’existence commence.

(André Bay)

40 ans : Quarante ans est un âge terrible, car c’est l’âge où nous devenons ce que nous sommes.

(Charles Péguy)

50 ans :

À cinquante ans on a dix ans de plus qu’à quarante.

À soixante ans, vingt ans de plus qu’à cinquante.

À soixante-dix, quarante ans de plus qu’à soixante !

(G. Courteline)

60 ans : « Soixante ans ! Ce déguisement de vieillard qu’il va falloir porter ! »

(Jean Rostand)

80 ans : « Je suis dans la fleur de l’âge qui commence à sentir le chrysanthème. » (Robert Lassus)

100 ans :

Eh ! N’as-tu pas cent ans ?...

Je voudrais qu’à cet âge

On sortit de la vie ainsi que d’un banquet.

(La Fontaine)

C’est merveilleux la vieillesse, dommage que ça finisse si mal !

(F. Mauriac)

Il y a une volonté de vivre sans rien refuser de la vie qui est la vertu que j’honore le plus en ce monde.

(Albert Camus)

L’émerveillement, c’est la vie. La routine, c’est la mort.

(Louis Leprince-Ringuet)

Il est vain, si l’on plante un chêne, d’espérer s’abriter bientôt sous son feuillage.

Ainsi va la vie. Nous nous sommes enrichis d’abord, nous avons planté pendant des années, mais viennent les années où le temps défait ce travail et déboise. Les camarades, un à un, nous retirent leur ombre. Et à nos deuils se mêle désormais le regret secret de vieillir…

La grandeur d’un métier est, peut-être, avant tout, d’unir des hommes : il n’est qu’un luxe véritable, et c’est celui des relations humaines.

En travaillant pour les seuls biens matériels, nous bâtissons nous-mêmes notre prison. Nous nous enfermons solitaires, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre.

(Saint-Exupéry)

Partir, c’est mourir un peu

Ce vers est tiré du « Rondel de l’adieu », rapporté par Edmond Haraucourt, Conservateur du musée de Cluny dans son « choix de poésies ».

Et Soro ajouta : oui, mais mourir…c’est partir beaucoup !


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