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Le grand retour (enfin j'espère !)

Par Aureliepaslignac

C'est sûr, on finit toujours par payer ses mauvaises actions.
Au lycée, j'avais séché le cours sur l'Iliade. Quelques années plus tard, je m'étais endormie pendant la projection de Troie au ciné malgré la présence de Brad et d'Orlando (comme quoi, je ne suis pas une fille attachée au physique des gens, un bon point pour moi).

Pour me punir de tant de mépris vis à vis de cet épisode mythologique du plus haut intérêt (des gonz' qui font la guerre à cause d'une cruche - certes très belle, la miss Monde de l'époque (mais élue par un jury non corrompu, elle !) - pas capable de résister à un beau mâle qui vient l'enlever alors qu'elle est tout de même mariée, bah moi ça m'laisse perplexe) Trojan-je-sais-plus-son-nom-complet, cheval de Troie coriace et sans pitié de son état, a été missionné pour pénétrer les entrailles de mon ordinateur, détruire peu à peu ses précieux fichiers, et réduire à néant ses fonctions vitales.

Des semaines de lutte acharnée et... on a fini par changer d'ordi, c'était plus simple. Trojan est donc désormais enfermé dans notre ancienne unité centrale, héhé, tel est pris qui croyait prendre !

N'empêche, je vais éviter de me réjouir trop vite parce que j'ai rêvé cette nuit que ce satané virus à crinière s'était frayé un chemin à travers les circuits imprimés, qu'il s'était faufilé dans le lecteur E: et qu'il avait rampé sournoisement sur le parquet du salon - parquet pour le moins glissant, telle une piste de bobsleigh, car ciré à la perfection (oui, oh, c'était un rêve et dans mes rêves, je suis riche, désirée par les hommes les plus séduisants de la planète, et surtout, mon parquet n'est pas auréolé de taches de vin) - pour atteindre la nouvelle unité centrale, pourtant véritable forteresse croyez-moi, immense donjon aux parois glissantes, pas une seule prise pour se hisser, roc infranchissable, tour impénétrable (comme Véro-Pas-avant-le-mariage, une camarade de fac).

Je n'en dirais donc pas davantage sur Trojan-le-barbare de peur de réveiller la bête, si jamais les virus informatiques avaient des oreilles.

En revanche, je vais profiter du répit qu'il me laisse pour vous raconter ce que j'ai fait dans ma vraie vie pendant cette coupure informatico-virtuello-blogosphérienne.

Parce que oui, j'ai fait pleiiiiin de trucs ! Allez pas croire que je suis en mode feignasse sous prétexte que le soleil inonde (a inondé ? ah, c'est déjà fini ?) la capitale et que tous les parcs de Paris et sa proche banlieue se sont donné le mot pour m'appeler à venir poser mon fastueux postérieur sur leur verte pelouse (et comme je suis une fille facile...).

Bref, un avant-goût des billets à venir très très prochainement :

pigeon

Du pigeon doublement étoilé...

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Des bébés tartelettes au citron explosives...

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Du veau qui nage dans le lait de coco...

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Des tartelettes aux fraises qui envoient du lourd...

Et encore beaucoup d'autres choses bien sympatoches parce que vraiment, je suis bien décidée à rattraper le temps perdu (si Trojan n'envoie pas ses cousins baraqués le venger).

Ah oui, et promis, la prochaine fois, je me mets moins de parenthèses dans mes textes (enfin j'essaie, quoi !) !


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