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TRANSFORMERS 4: Critique du film

Par Pulpicons

TRANSFORMERS 4: Critique du film

Transformers 4:  l’âge de « l’attraction ».

A croire que Michael Bay s’apprête à lancer un parc d’attraction Transformers en Chine, ce quatrième volet ressemble à une gigantesque promo pour un pass famille au Transformers Park. Le film est une contrefaçon convaincante de l’univers de la mythologie originelle, mais il a peut-être perdu son coeur: Shia Labeouf. Qu’on aime l’acteur ou pas, il avait su créer à l’image une interaction crédible avec les robots, un lien émotionnel. A l’instar d’un Michael J.Fox dans Retour vers le futur en son temps, la trilogie Transformers est née avec Shia Labeouf alias Sam Witwicki. Pour autant, Michael Bay offre une belle introduction à son film qui laisse présager du meilleur…mais pas longtemps. Très vite, on est précipité dans un grand 8 qui tire vers le film d’animation, en suivant les trois protagonistes du nouveau casting, comme « baladés » au milieu du grand barnum de CGI. Effets spéciaux d’ailleurs un peu en dessous des premiers opus, avec beaucoup de plans 100% digital, et bien moins d’interactions humains/robots à l’écran.  Si le nouveau film de Michael Bay est ambitieux, il n’est pas prétentieux et ne se prend pas pour autre chose qu’un pur divertissement estival, certes inégal, mais assez sincère au final. Mention spéciale à Stanley Tucci.


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