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La prostitution disruptée par Internet

Publié le 10 août 2014 par Christophefaurie
La prostitution disruptée par Internet The Economist semble aux mains des stagiaires.
Ils étudient la « disruption » de la prostitution par Internet. Les lois du marché à l’œuvre comme dans n’importe quelle autre profession de service. Ce pourrait même être une réussite du modèle de l’autoentrepreneur. Désormais, on peut faire commerce de son corps de chez soi et sans intermédiaire. Et en toute sécurité. Internet est grand.
La Russie semble avoir fait une croix sur l’économie, puisqu’elle est l’outil de sanctions. Elle se préparerait à l’autarcie et au sacrifice. Plus rien ne l’empêche d’attaquer l’Ukraine. (Les sanctions occidentales auraient-elles eu l’effet inverse de celui qui était escompté ?) Cuba, aussi, chercherait des partenaires qui ne soient pas susceptibles d’utiliser l’économie pour faire un coup d’Etat. En Turquie le premier ministre actuel serait certain de conserver le pouvoir tant qu’il assure la prospérité à son peuple. Ce qui n’est pas le cas de M.Renzi. La faiblesse de l’économie italienne pourrait mettre en péril ses réformes. Les Palestiniens et les Israéliens sont fatigués. Le Hamas n’est plus soutenu que par l’Occident. Les pays arabes n’apprécient pas sa nuance d’Islamisme et jugent qu’il y a des drames bien plus sérieux qui se jouent ailleurs. En Iraq, M. al Maliki pourrait envisager de partir, avec l’accord des Iraniens et des Américains. Aux USA, M.Obama ne sait toujours pas parler aux patrons. En réaction aux pressions de la Chine, les Uigurs veulent affirmer leur identité grâce à l’Islam. Ce qui augure de la persistance de troubles. Ebola cause une panique chez les pays riches. Menace pour le commerce des pays infectés. Ce dont ils n’ont pas besoin.
Pourquoi le gestionnaire de fonds existe-t-il encore, alors qu’il est inefficace ? Parce qu’il permet aux fonds de pension de croire au miracle… 10 à 20% des fusions ne se font pas. Unilever se veut vertueuse. Ce qui signifie former les paysans, laver les mains des enfants, et exiger de ses clients d’économiser l’eau de leur douche. Il n’est pas certain que la bourse apprécie. Warren Bennis a été le premier à s’intéresser au leader. Beaucoup de ce que les MBA disent du leader vient de lui. Apparemment les leaders modernes l’auraient désespéré. Mais une nouvelle génération, pleine de promesses, arriverait. Il y a trop de banques en Europe. Les subventions de la Chine à ses chantiers navals leur a permis de faire boire la tasse à leurs concurrents. L’organisation mondiale du commerce a connu un nouvel échec. L'Inde, pourtant devenue libérale, a refusé de lui soumettre sa politique de subventions à l'agriculture. Avenir compromis. 

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