L’#estory de ma soirée #eparisienne

Etre blogueuse parfois c’est recevoir des cadeaux de marques, être invitée à des soirées et être choyée. Si on m’avait dit qu’un jour ça pourrait s’appliquer à mon modeste blog et moi, j’aurais dit "chouette, ça arrive quand?!" Finalement, ce n’est pas ça ce qui compte. Les cadeaux, la gratification… (même si on reste loin de la jet set et du star system)

Hier soir, j’étais à la soirée #eparisienne pour vitaminer ma rentrée. Je n’y suis pas allée pour les cadeaux, non. J’y suis allée parce que je savais que j’allais passer un super moment. J’ai du m’organiser, négocier avec super-busy-tonton (et tête en l’air) pour qu’il esquive une séance de boxe et qu’il garde sa super nièce (autrement dit ma furie de fille), préparer le repas, faire prendre le bain à ma fille plus tôt… Pour avoir cette soirée à moi.

J’y suis allée parce que c’est une soirée blogueuses comme je les aime. Tu es accueillie à l’arrivée (ça parait tout bête mais parfois on te check sur un listing et basta), tu reçois un badge car plusieurs groupes sont prévus sur plusieurs activités. Cela veut dire que tu as un vrai temps de présentation avec les marques. On est loin du "cadeau contre un article". J’aime bien poser des questions tordues mais c’est juste ma façon de titiller car derrière j’ai souvent un véritable intérêt pour comprendre la démarche, le produit and co.

Hier soir, j’étais non loin du canal St Martin dans un formidable endroit dont j’avais déjà entendue parler : le coworkshop. Un lieu de partage de bureaux à l’heure, à la journée voir même au mois pour les freelance qui ont du mal à travailler de chez eux (quoi que ce lieu est si sympa qu’on n’a pas vraiment besoin de raison pour y venir).

Je savais que j’y retrouverais des copines et surtout que j’allais rencontrer aussi d’autres blogueuses à l’esprit aiguisé. C’est ça les #eparisiennes !

C’est parti pour la première activité avec la découverte de kiwis cultivés en France qui ont la particularité d’être petit, sans peau à poils (donc à déguster sans éplucher!!) et à cuisiner aussi bien salé que sucré. Réalisation de verrines et de brochettes voire de cocktail fruité ! Un régal ! Vous les trouverez en moyennes et grandes surfaces au rayon des baies sous le nom de nergi.

La seconde activité ne nous a pas permis de redevenir sérieuse… Retour en enfance avec La Pinata. Nous avons découvert une boutique au 25 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris tenue par une colombienne figée dans le temps (ce n’est pas péjoratif). Outre les peluches et autres jouets proposés tout aussi adorables, nous avons pu avoir une présentation de la pinata. Mot italien qui signifie en terre cuite, il s’agit d’une tradition principalement d’Amérique centrale pour les fêtes. Aujourd’hui, il s’agit de bander les yeux de nos enfants et de les faire taper dans la pinata jusqu’à ce qu’elle cède et qu’elle délivre bonbons et autres cadeaux que vous aurez pris le soin d’y mettre dedans. Une activité que j’avais penser faire avec ma fille. C’est sûr que je le ferais un jour ! Nous avons pu tester "l’éclatage de pinata" et je dirais que ça convient à tout âge… No comment, il faut le vivre pour comprendre !

Dernière activité mais non la moindre, retour au Coworshop et présentation de la genèse du projet par Maxime, un des co-fondateur, des locaux, des diverses possibilités pour y travailler. A l’heure, journée, résident permanent, location de salles de réunion et même de bureaux fermés… Tout est fait pour que l’espace soit convivial et un lieu d’échange favorisé par le réseau mis en place où chaque coworker est invité à se présenter voir même poster des offres d’emploi ! Perso, j’y retourne bientôt !

Tout au long de cette belle soirée pleine de rires et de sourires, nous avons pu dégustes les jus Innoncent et découvrir les petits bonnets de laine sur les bouteilles en faveur de l’association Petits frères des pauvres. A chaque achat, 20 centimes sont reversées à l’association. Tous les tricoteurs de France sont invités à participer à cette belle opération : tricoter un bonnet jusqu’au 1er décembre de la taille à aller sur une bouteille (objectif 350 000 !!), ils sont à envoyer ou déposer à la Halle aux fruits ou dans les points de vente Phildar pour être ensuite vendus dès janvier en magasin. Donc si on ne tricote pas, pas de souci, on peut acheter son jus et participer quand même !

Et pour les plus chanceuses des sacs Bensimmon à gagner mais j’étais déjà super comblée d’avoir découvert et vécu tout ça en compagne de la souriante Gazelle à Paris…

C’est le signe d’une soirée bien organisée, bien conçue alors je n’ai plus qu’à féliciter les organisatrices Nathalie et Sheily !

Aller plus loin : mon témoignage sur ma première soirée eparisienne