Les actualités en 4 vidéos du 17 octobre 2014

30 personnes assassinées en RDC

Selon les témoins, l’attaque menée par une vingtaine de personnes a eu lieu à 8 kilomètres du centre-ville de Beni, sur la route de l’aéroport et s'est poursuivie dans un autre quartier près d'une forêt, malgré l'intervention de la police et de l’armée congolaises. Une trentaine de victimes auraient été tuées par balles, à coups de machettes et pour certaines égorgées Une dizaine de civils seraient aussi gravement blessés. Le maire de Beni a décrété une journée de deuil dans la ville.

Mini-sommet Asie-Europe en Italie

Micros et caméras sont braqués sur la rencontre Poutine-Porochenko. Pour participer aux pourparlers d’une solution de sortie de crise entre la Russie et l’Ukrain, Angela Merkel, François Hollande et David Cameron sont également présents. Le ton de la positivité de ce 10e sommet Asie-Europe, a été donné ce matin par le Président du Conseil des ministres italien Matteo Renzi en déclarant: “Ce fut un petit-déjeuner sans petit-déjeuner parce que personne n’a bu de café italien. Personne n’a partagé le café, le thé ou le lait, mais c’est un signal intéressant sur le besoin de discuter et j’ai l’espoir que nous allons progresser dans les heures qui viennent. Je suis très positif sur ces rencontres et suis sûr que nous allons très bien travailler ensemble”.

Le plus grand tueur en série du Brésil sous les verrous

Thiago Henrique Gomes da Rocha, un agent de sécurité célibataire âgé de 26 ans, serait l'assassin présumé de
39 personnes, entre 2011 et 2014. Il a été arrêté à Goiana après 70 jours d'enquête.

Un braqueur récidiviste abattu par la police en France

Tôt ce matin, la tentative de braquage avec violence d'une supérette dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse (31), a été interrompue par l'arrivée des policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC). Face au braqueur qui pointait une arme, l'un des fonctionnaires a tiré, le blessant mortellement au thorax. Deux enquêtes sont en cours, l'une confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ) pour déterminer si l'agent a pu agir en état de légitime défense, et l'autre à la police des polices (lGPN) pour déterminer les circonstances.