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Canadiens : «On ne joue pas du bon hockey» - Parenteau

Publié le 04 novembre 2014 par Masterfuneral
Canadiens : «On ne joue pas du bon hockey» - Parenteau
Source : Tvasports.ca
Pierre-Alexandre Parenteau n’a pas joué la cassette des clichés. À la veille du match contre les Blackhawks de Chicago, l’ailier droit a reconnu que son équipe traversait une période creuse.

«Je n’ai pas peur de le dire, on ne joue pas du bon hockey depuis quelques jours, a affirmé Parenteau dans le vestiaire du Canadien, lundi, à Brossard. Nous avons connu des matchs difficiles dans l’Ouest canadien et c’était encore pire contre les Flames, à Montréal.»

«Nous n’avons pas d’excuses pour nos derniers matchs, moi le premier, a-t-il poursuivi. Nous manquions d’émotions, nous devrons corriger le tir.»

Parenteau n’a pas touché la cible à ses sept derniers matchs. Depuis la troisième période du match à Vancouver, le numéro 15 a également perdu sa place à l’aile droite au sein du deuxième trio. À son dernier match contre les Flames, il a aussi obtenu son plus faible temps d’utilisation de la saison à 11 min 05 s.

À l’entraînement, Parenteau se retrouvait sur le flanc droit en compagnie de Lars Eller et de Rene Bourque, alors que Brendan Gallagher patinait avec Tomas Plekanec et Alex Galchenyuk.

Un bon test

Le Canadien (8-3-1) cherchera à se relever avec la visite des Blackhawks (6-5-1), mardi, au Centre Bell.

«Au hockey, tu es aussi bon qu’à ton dernier match, a rappelé Parenteau. En ce moment, on ne se sent pas super bon. Mais, la bonne chose, c’est que nous jouons notre prochain match contre les Blackhawks. Si on peut battre les Hawks, l’une des bonnes équipes de la LNH, on n’en parlera plus de cette petite tempête. On aura passé à autre chose.»

«J’ai l’impression qu’on joue toujours nos meilleurs matchs quand on se retrouve devant un bon défi, a renchéri le centre David Desharnais. On sait qu’on peut rivaliser avec les grosses équipes. Des tempêtes, il y en aura, mais il faut juste les minimiser.»

Dans un autre coin du vestiaire, Carey Price a tenu un discours semblable à celui de Michel Therrien.

«Oui, nous avons perdu deux matchs, mais ce n’est pas la fin du monde. Il n’y a pas de sentiment de panique dans cette chambre. Nous ne devons pas oublier la recette de notre succès. Pour gagner, nous devons mettre nos bottes de travail.»

À l’image du Tricolore, les Hawks vivent des heures difficiles. Les champions de la Coupe Stanley en 2013 ont perdu trois de leurs quatre derniers matchs. Malgré les Jonathan Toews, Patrick Kane, Duncan Keith, Patrick Sharp et Marian Hossa, les Blackhawks ont marqué deux buts ou moins dans neuf de leurs 12 premiers matchs.

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