Il y a déjà quelques années, une équipe d’archéologues avait fait des recherches dans l’église des Frari où sont ensevelis de nombreux doges, et surtout, des condottiere de la Sérénissime République de Venise.
En réalité, ces scientifiques étaient à la recherche de la dépouille, ou tout au moins de restes de Francesco Bussone, connu sous le nom de Carmagnola, capitaine général de la Sérénissime, décapité en 1432 entre les deux colonnes de la piazzetta, reconnu coupable de trahison et de connivence avec l’ennemi, Filippo Maria Visconti. L’accusation était mensongère, mais cela est une autre histoire…
Lors des fouilles, le Podesta de Venise de l’époque avait formellement interdit toute photo des dépouilles exhumées. Pensez-donc, dans une Italie extrêmement catholique, cela relevait du blasphème. Les chercheurs étaient donc sous une étroite surveillance des autorités de la ville et de l’archevêché.
Parmi ces savants, se trouvaient quelqu’un qui, depuis, est devenu notre ami.
A l’époque il était jeune et insouciant, et, pour la science, il a bravé l’interdit.
De ces recherches, nous ne savons pas si les scientifiques ont trouvés les restes du Carmagnole… mais nous avons des images extraordinaires, qui nous ont été confiées, des années plus tard, en secret.
Des images exclusives, volées, d’un interdit bravé.
Pour la première fois au monde, vous découvrez ci-dessous, la dépouille d’Orazio Savelli (ou Horatio Savello) condottiere de la République de Venise, qui repose dans la chiesa dei Frari.