Heps la Bigrosphère! I am back dans mes pénates ajd, puisque je vais donc vous faire la première review de film depuis Dracula Untold (aaaaaaaargh, Luuuuuuke Evaaaaaaaans… <3"><3"><3"><3 ). Je n’ai pas vraiment eu envie d’aller dans les salles obscures ces derniers temps vu les films pourris qu’on y présentait…
C’est pourquoi j’ai fait appel à ceux et celles d’entre vous qui suivent le blog sur Facebook (vous pouvez toujours le faire via l’onglet sur la droite du blog) pour savoir si vous avez eu des coups de cœur récents à me proposer. JE SUIS EN MANQUE!
Mais bon, voilà, je suis donc allée au cinéma hier soir, pour aller voir un film que je savais ne pas être le meilleur film de l’Histoire, mais qui m’attirait assez de par le pitch et de par la présence d’un gamin que j’aime…vous saurez qui bien assez tôt.
Cliquez donc, je vous promets une review sans spoilers!
Le Labyrinthe, ça raconte l’histoire de Thomas, jeune garçon de seize ans, qui se réveille sans aucun souvenir que son nom dans la Clairière, bloc de terre encastré au beau milieu d’un labyrinthe impénétrable. Une communauté de garçon y survit pendant que leurs Coureurs cartographient le Labyrinthe pour tenter d’en trouver la sortie. Mais l’arrivée de Thomas va bouleverser l’équilibre précaire de cette communauté…
The Maze Runner est donc adapté d’une série de bouquins dystopiques pour la jeunesse. Une dystopie, pour ceux qui ne sauraient pas ce que c’est, c’est l’inverse d’une utopie, donc un monde où rien ne va, et où le plus souvent le héros doit tenter de rétablir l’ordre du monde. On est donc ici dans la science-fiction en plein, et plus que The Hunger Games auquel on a trop comparé cette franchise.
J’adore Hunger Games, ne vous méprenez pas. Mais voilà, dans cette franchise-là,on voit tout dans les yeux de Katniss qui veut seulement survivre dans sa petite tête d’égoïste et qui s’en fout pas mal de comment Panem a été créé, du pourquoi des choses et du comment changer ça.
Alors qu’ici, l’enjeu-même du film, c’est de découvrir pourquoi les jeunes ont été enfermés dans un labyrinthe, et par qui.
Et je vous parle même pas de la fin qui promets de chouettes aventures au prochain épisode.
Donc, si on résume, au niveau du scénario, même si c’est totalement teenage movie assumé (l’entièreté du cast est quand même formée d’ados ou de jeunes adultes), est pas mal du tout.
Voilà, finalement, pour moi, le gros défaut de cette franchise: les ados. Les héros ont quoi? 17, 18 ans maximum? Et bizarrement, ils sont tous aussi matures que des adultes de 30. Wow, on va se calmer les cons là.
Quand une fille se pointe (je spoile rien, c’est dans la bande-annonce), lesdits ados, qui sont restés pour certains 3 ans sans voir une gonzesse, vont certainement pas se désintéresser de la demoiselle aussi facilement que s’il s’agissait de leur mère!!!
(Ouais, je trouve ça d’un débile…)
Voilà voilà… Je me calme, parlons du casting.
Le film en entier se repose sur l’acteur casté pour interpréter Thomas. Il ne fallait donc pas choisir une nouille. Heureusement, coup de maitre, Thomas est donc incarné par Dylan O’Brien, que les fans de Teen Wolf reconnaitront en notre cher Stiles (je dis « notre » cher alors que je ne regarde pas cette série, juste parce que je le vois tourner partout sur le net et l’aime donc par procuration). Dylan est vraiment crédible dans le rôle, il est efficace, terre-à-terre mais pas parfait, donc il joue très bien. Chapeau bas Monsieur.
Au niveau des autres jeunes gars, je n’en retiendrai que deux, puisque je les connais bien.
Le premier, c’est Gally, incarné par Will Poulter, et je vous jure que j’ai failli avoir une attaque en le voyant se pointer. Pour moi, Will Poulter, c’est Eustache, le cousin chiant dans Narnia: l’Odyssée du Passeur d’Aurore. Il faisait à tout péter 1m20 à cette époque. Et ici, il fait un bon 2m, et est carré comme un bulldozer. Ouch quoi… oO Donc, très crédible dans le rôle du musclé par très fute qui d’office se confronte à Thomas, qui n’a pas de muscles mais un cerveau qui fonctionne plutôt bien. Je dois dire que lui aussi m’a bluffée dans son jeu.
Mais le voilà arriver au grand galop, celui que je voulais voir parmi tous les autres, cet espèce de sage grand échalas aux cheveux cuivrés… Arf… Après Jojen Reed, il aime donc ça, jouer les Maitre Yoda en devenir… Oui, j’avais donc envie de voir ce film parce qu’il y avait Thomas Brodie-Sangster dedans. Un gage de qualité pour moi. Attendez, le gamin (il a mon âge, je pleure), il a quand même joué dans Love Actually (Ringo rules), dans The Last Legion, dans Game of Thrones, dans Doctor Who, dans Nanny McPhee…bref, que dans des trucs que j’ai adoré ou adore encore.
(Et puis, faut avouer qu’il est sacrément beau gosse…)
Newt (ha ha HA! les Potterheads dans la salle, dites-moi que je suis pas folle de rire sur ce nom) est donc le sage de la bande, le chef en intérim, le Maitre Yoda. Je l’ai beaucoup apprécié, et pas que pour son interprète, mais parce qu’il est toujours la voix de la raison.
Bref, si on résume, The Maze Runner, c’est un teen movie, donc pas non plus un chef-d’oeuvre, mais ça se laisse regarder, et il y a de bons jeunes acteurs dedans. Enough for you? :)
Note: 7,25/10 (scénario: 7/10 – jeu: 8/10 (à part les trois cités, les autres font office de figurants nuls) – BO: 6/10 (bof bof bof) – science-fiction: 8/10 (yeah baby!))