J'espère que Zweig ne vous soûle pas trop parce que vous risquez de le voir pas mal sur Pralineries ces temps-ci !
Voici deux nouvelles très courtes mais néanmoins forts sympathiques. L'une est aussi tragique que l'autre est ironique.
L'étoile au-dessus de la forêt, c'est l'histoire d'un coup de foudre. Un maître d’hôtel qui tombe éperdument amoureux d'une belle comtesse. Sans espoir de retour. Un amour beau et pur. Alors quand la belle met fin à son séjour, que faire ?
Cette première histoire est poignante. Elle a un côté absolu.
La Marche se déroule à l'époque du Christ. Un homme se sent appelé à le suivre. C'est une urgence. Il se presse. Et puis, il s'arrête pour boire un verre d'eau. L'erreur fatale !
Celle-ci est plutôt sympathique. Le héros, c'est l'humanité dans toute sa splendeur : elle s'engage dans des causes, elle avance, mais elle se laisse parfois distraire, au point d'oublier ses rêves. Une nouvelle plus profonde qu'elle n'en a l'air, sous ses dehors ironiques.