Interstellar. Bercé par les orgues d'Hans Zimmer, Interstellar raconte l'épopée spatiale d'un pater familias, aimant par dessus tout sa petite fille de 11 ans. Si Interstellar rappelle par moments Gravity ou 2001, l'Odyssée de l'espace, c'est pour mieux s'en détacher et liver son propre récit dantesque, fruit de longues conversations avec des astrophysisiens de renom. Car Interstellar est un film presque réaliste. Oui, oui, réaliste. Débutant sur une terre hostile, balayée par des tempêtes de sable, le héros trouve (par hasard, mais pas vraiment, là est tout l'enjeu du film mais chuuut, pas de spoilers) un repère d'astronautes s'apprétant à voyager dans l'espace pour la survie de la planète Terre. Bref synopis donc de cette odyssée spatiale qui va emmener nos héros aux confins de l'univers. Même si l'on pourra reprocher à Interstellar son verbiage appréciable certes mais parfois incompréhensible sur les trous noirs, trous de vert et parfois la cinquième dimension (mon passage préféré), le film se vit et ne souffre d'aucun temps mort pour nous servir une histoire sur l'amour filial, un bel amour qui traverse les époques.
A recommander à ceux qui veulent avoir la tête dans les étoiles. Encore, et encore. Et toujours.
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Pacman
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