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Hapyview*126 : Joël Guillon – Découvrir son excellence

Publié le 11 décembre 2014 par Moodstep

Dans ma lettre d’information Métamorphose, j’annonçais mon passage en Alsace. Je reçois un message d’Etienne Siat qui me demande si l’on peut se rencontrer. Entre une conférence et un atelier, nous avons quatre heures pour faire connaissance. Pas un temps mort et surtout son visage qui clignote quand il me parle de Joël Guillon.

Je venais de parler lors de mon intervention chez Adidas de ce que Florence Servan Schreiber nous avait appris au Forum Happylab de mai de cette année : identifier nos supers-pouvoirs ! Connaître ses forces grâce au questionnaire en ligne gratuit VIAME en est la première étape.  Comme je suis persuadée que nous sommes tous porteurs d’un trésor qu’il nous importe de reconnaitre pour l’offrir au monde, “découvrir sa zone d’excellence” était un sujet en miel pour l’abeille que je suis !

RDV était pris et je n’ai pas été déçue du voyage. Ma curiosité est piquée au vif puisque je me suis inscrite pour le prochain stage ! Petit détail qui m’a amusée : le bureau de Joël se trouve rue du Génie !

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Joël m’a confié le premier chapitre de son livre à paraitre prochainement sur le sujet. En voici un court extrait :

Le trésor
Dans tout ce fatras d’automatismes accumulés, bien caché il y a un trésor. Il s’agit de mon Mode opératoire identitaire (M.o.i.). Il est tapi au fond de moi, mais il est très actif. Il se met en route tout seul, sans que je m’en aperçoive et il sous-tend, à tout instant toutes mes actions qui consistent à modifier mon environnement et à obtenir un résultat. J’ai beau l’ignorer et le méconnaître, il est là, vigilant, actif, et maître d’oeuvre. Il est responsable de tous mes échecs et de tous mes succès. Dans un cas, le contexte et l’objectif à atteindre lui conviennent et correspondent à mon M.o.i. et c’est le succès, dans le second cas, le contexte lui reste étranger, et je ne fais rien, ou au pire, je me lance dans l’action, mais étant peu efficace, j’aurai le goût amer de l’échec. ARISTOTE enseignait déjà au troisième siècle avant Jésus-Christ : « Nous sommes ce que nous répétons. L’excellence n’est donc pas une action mais une habitude ». Aujourd’hui j’irai un peu plus loin et je préciserai: c’est un méta-automatisme qui est essentiellement le bras armé de mon identité.

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