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La Rédemption de Lady Claire de Ann Lethbridge

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique réalisée par RoseRose

:star: La rédemption de Lady Claire de Ann Lethbridge

La Rédemption de Lady Claire de Ann LethbridgeNombre de pages : 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie :1er décembre 2014
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280312174
ISBN-13 : 9782280312172
Prix Éditeur : 6,90 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Entrez à Castonbury Park, fastueux domaine de la campagne anglaise… où passions et scandales emportent maîtres et valets.

« Il te faut un mari ! » Pour offrir un avenir à sa petite Jane, lady Claire doit consentir à ce sacrifice. N’est-ce pas déjà un miracle que son frère lui rouvre les portes de Castonbury Park, alors qu’elle s’est enfuie des années plus tôt avec un coureur de dot ? N’empêche… La perspective de se marier pour réparer ses fautes lui soulève le cœur. Dieu merci, la joie de renouer avec le lieu de son enfance adoucit son sort, et les plats succulents qu’on y sert n’y sont pas pour rien. D’où le nouveau chef tient-il son talent, qui l’envoûte à chaque repas et lui donne goût à la vie ? Déjà, elle sent un trouble dangereusement familier la gagner. Par le passé, elle a été séduite, et déçue. Et jamais plus elle ne mettra son destin en péril pour un homme…

Mon avis :

Bienvenue à la maison

Claire est tétanisée devant la grande porte de Castonbury Park. Sa fille Jane, sept ans, à ses côtés, leurs maigres bagages à leurs pieds, elle se demande comment le maître des lieux, son frère, le duc de Rothermere, va les recevoir. Mais la grande porte leur est fermée au nez avant même que Claire n’ait le temps de s’annoncer : on les a prises pour des domestiques et on leur a demandé de passer par l’entrée qui leur sied !

Qu’à cela ne tienne, les deux arrivantes font le tour de la bâtisse. Et lorsque la porte de la cuisine s’ouvre, c’est le jour et la nuit : l’intérieur semble accueillant et confortable, avec une délicieuse odeur ravivant leur appétit. Le chef cuisinier, un étranger semble-t-il, bel homme, les accueille et leur propose de la soupe et du pain, avant, dit-il, d’être obligé de les renvoyer. C’est alors que Claire comprend la méprise : on les prend maintenant pour des mendiantes venues quémander un peu de chaleur et un bol de bouillon ! D’un autre côté, avec ses vêtements usés, il est vrai qu’elle ne fait pas vraiment illusion… Mais elle retrouve rapidement ses esprits et demande au charmant chef d’appeler Mme Stratton, la gouvernante, de la part de lady Claire.

Reste maintenant à savoir comment son frère va la recevoir, puisque la dernière fois qu’ils se sont vus, elle s’enfuyait avec celui qui deviendrait son mari, et qui s’est avéré être un coureur de dot…

Des personnages hauts en couleurs !

J’ai été assez touchée par ce personnage de Claire, qui s’est enfuie plus jeune de chez elle pour pouvoir épouser l’homme qu’elle aimait. Mais ce dernier s’est révélé être un misérable escroc. Et c’est péniblement que la jeune femme rentre chez elle, plus pour le bien de sa fille que pour le sien. Sa route va croiser celle de Victor, le chef français employé par son frère, et c’est grâce à lui qu’elle reprendra goût à la vie. Et il faut dire que les petits plats mitonnés par ses bons soins n’y sont pas pour rien… Par ailleurs, on aurait aimé en savoir un peu plus sur la vie de Claire avant son arrivée, sur sa fuite avec son prétendant et sur la descente aux enfers qui a suivi.

Victor, justement, est un homme assez mystérieux. On comprend qu’un traumatisme dans sa jeunesse l’a affaibli et l’a fait quitter son pays. Toute sa passion, il la met dans sa cuisine, et lors de l’arrivée de Claire, lui faire retrouver le sourire et l’appétit sera son plus grand défi.

Les domestiques sont également intéressants, et on a l’impression que chacun d’eux aurait une histoire à raconter.

La petite Jane, la fille de Claire, est plutôt mignonne, mais elle a des réactions qui m’ont parues tantôt très bébé pour une fillette de sept ans, tantôt bien au-dessus de son âge. C’est peut-être ce qui m’a le plus déstabilisée.

En conclusion

Des personnages attachants, quelques longueurs de temps en temps, mais sur lesquelles on passe rapidement, un peu de suspense avec la recherche d’un domestique qui s’amuserait à gâcher les plats de Victor (je ne vous en dirai pas plus !), mais pour une raison qui m’a semblé un peu tirée par les cheveux, des bals, des rencontres, des disputes, des réconciliations (dont certaines sur l’oreiller !), bref, il y a quand même tous les éléments pour faire de ce titre une jolie romance !

Très bon

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Chronique réalisée par RoseRose

:star: La rédemption de Lady Claire de Ann Lethbridge

La Rédemption de Lady Claire de Ann LethbridgeNombre de pages : 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie :1er décembre 2014
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280312174
ISBN-13 : 9782280312172
Prix Éditeur : 6,90 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Entrez à Castonbury Park, fastueux domaine de la campagne anglaise… où passions et scandales emportent maîtres et valets.

« Il te faut un mari ! » Pour offrir un avenir à sa petite Jane, lady Claire doit consentir à ce sacrifice. N’est-ce pas déjà un miracle que son frère lui rouvre les portes de Castonbury Park, alors qu’elle s’est enfuie des années plus tôt avec un coureur de dot ? N’empêche… La perspective de se marier pour réparer ses fautes lui soulève le cœur. Dieu merci, la joie de renouer avec le lieu de son enfance adoucit son sort, et les plats succulents qu’on y sert n’y sont pas pour rien. D’où le nouveau chef tient-il son talent, qui l’envoûte à chaque repas et lui donne goût à la vie ? Déjà, elle sent un trouble dangereusement familier la gagner. Par le passé, elle a été séduite, et déçue. Et jamais plus elle ne mettra son destin en péril pour un homme…

Mon avis :

Bienvenue à la maison

Claire est tétanisée devant la grande porte de Castonbury Park. Sa fille Jane, sept ans, à ses côtés, leurs maigres bagages à leurs pieds, elle se demande comment le maître des lieux, son frère, le duc de Rothermere, va les recevoir. Mais la grande porte leur est fermée au nez avant même que Claire n’ait le temps de s’annoncer : on les a prises pour des domestiques et on leur a demandé de passer par l’entrée qui leur sied !

Qu’à cela ne tienne, les deux arrivantes font le tour de la bâtisse. Et lorsque la porte de la cuisine s’ouvre, c’est le jour et la nuit : l’intérieur semble accueillant et confortable, avec une délicieuse odeur ravivant leur appétit. Le chef cuisinier, un étranger semble-t-il, bel homme, les accueille et leur propose de la soupe et du pain, avant, dit-il, d’être obligé de les renvoyer. C’est alors que Claire comprend la méprise : on les prend maintenant pour des mendiantes venues quémander un peu de chaleur et un bol de bouillon ! D’un autre côté, avec ses vêtements usés, il est vrai qu’elle ne fait pas vraiment illusion… Mais elle retrouve rapidement ses esprits et demande au charmant chef d’appeler Mme Stratton, la gouvernante, de la part de lady Claire.

Reste maintenant à savoir comment son frère va la recevoir, puisque la dernière fois qu’ils se sont vus, elle s’enfuyait avec celui qui deviendrait son mari, et qui s’est avéré être un coureur de dot…

Des personnages hauts en couleurs !

J’ai été assez touchée par ce personnage de Claire, qui s’est enfuie plus jeune de chez elle pour pouvoir épouser l’homme qu’elle aimait. Mais ce dernier s’est révélé être un misérable escroc. Et c’est péniblement que la jeune femme rentre chez elle, plus pour le bien de sa fille que pour le sien. Sa route va croiser celle de Victor, le chef français employé par son frère, et c’est grâce à lui qu’elle reprendra goût à la vie. Et il faut dire que les petits plats mitonnés par ses bons soins n’y sont pas pour rien… Par ailleurs, on aurait aimé en savoir un peu plus sur la vie de Claire avant son arrivée, sur sa fuite avec son prétendant et sur la descente aux enfers qui a suivi.

Victor, justement, est un homme assez mystérieux. On comprend qu’un traumatisme dans sa jeunesse l’a affaibli et l’a fait quitter son pays. Toute sa passion, il la met dans sa cuisine, et lors de l’arrivée de Claire, lui faire retrouver le sourire et l’appétit sera son plus grand défi.

Les domestiques sont également intéressants, et on a l’impression que chacun d’eux aurait une histoire à raconter.

La petite Jane, la fille de Claire, est plutôt mignonne, mais elle a des réactions qui m’ont parues tantôt très bébé pour une fillette de sept ans, tantôt bien au-dessus de son âge. C’est peut-être ce qui m’a le plus déstabilisée.

En conclusion


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