Chronique réalisée par Rose
:star: Une Américaine à Londres de Sabrina Jeffries
Série : Les Hussards de Halstead Hall Tome 1
Nombre de pages : 380 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 7 janvier 2015
Collection : Aventures & passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290091707
ISBN-13: 9782290091708
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : OuiLire un extrait du roman
Son résumé :
Olivier, marquis de Stoneville, est consterné : lasse de ses frasques, sa grand-mère Hetty annonce qu’elle le déshéritera s’il n’est pas marié avant la fin de l’année. Sa seule clémence : il est libre de choisir sa future épouse. Bien décidé à ne pas être traîné à l’autel contre son gré, Olivier contre-attaque. Pour forcer Hetty à renoncer à cette folie, il feindra de tomber amoureux de la jeune femme la plus inconvenante qui soit. Et c’est ainsi qu’il déniche la jolie Maria dans un bordel de Londres. Mais tel est pris qui croyait prendre…
Mon avis :
J’ai adoré ! (Et je pourrais m’arrêter là, mais je ne suis pas sûre que notre chère tenancière soit ravie de mon argumentation… ;-)) Bref, je vais tenter de calmer mes ardeurs, et de vous raconter cette histoire…
Tout commence par une lettre…
Le récit commence par une lettre d’Hester Plumtree, dite Hetty, la grand-mère de nos héros. Elle a un côté un peu Maggie Smith dans Downton Abbey, ce qui la rend tout de suite très sympathique ! Dans cette lettre, elle explique que sa fille et son gendre sont décédés dans un tragique accident. Elle a donc du élever ses cinq petits-enfants : Olivier, l’aîné, qui sera au centre de ce premier tome, qui n’a aucune envie de donner un arrière-petit-enfant à Hetty et préfère fréquenter les bordels de Londres ; Jarret, grand parieur devant l’éternel ; Minerva, auteur à succès de romans gothiques ; Gabriel, fan de courses de chevaux ; et Célia, la petite dernière, qui ne jure que par les pistolets. Une famille atypique comme on les aime !
Hetty a donc décidé d’ourdir un plan machiavélique pour que ses petits-enfants adorés rentrent dans les rangs. Et ils ne risquent pas d’être très contents…
Un tragique accident
Nous sommes en 1806 à Ealing, en Angleterre. Oliver Sharpe a seize ans, et vient de se faire surprendre par sa mère dans une situation assez compromettante. Furieuse, celle-ci le traite de tous les noms : il suit le même chemin que son père et entraîne la déchéance de la famille. Elle part à la recherche de son mari. Mais les parents d’Olivier ne rentreront jamais à la maison : sa mère tuera son père avant de retourner l’arme contre elle.
Près de vingt ans plus tard, cette scène est encore très vivace dans l’esprit d’Olivier. Les rumeurs autour du décès de ses parents sont encore là, et le jeune homme est bien conscient que ce n’est pas en s’abrutissant d’alcool et en partageant la couche de nombreuses filles de joie qu’il oubliera cette journée funeste. Hetty avait expliqué à l’époque que sa fille était allée se reposer dans le pavillon de chasse et, croyant être réveillée par un intrus, avait tiré sur son mari avant de se donner la mort. Mais cela ne fut pas suffisant pour empêcher les ragots.
Et si cette scène lui revient en mémoire en ce moment-même, c’est parce que sa grand-mère les a tous convoqués à Ealing, sur la propriété fermée depuis des années. Et cash comme elle est, ce qu’elle leur annonce les laisse sans voix : ils ont tous un an pour s’établir, sinon ils seront déshérités. Et en plus elle leur coupera les vivres (sinon ce n’est pas drôle). S’ils ne respectent pas ce qu’elle leur demande, ils seront sous la responsabilité d’Olivier. Or Halstead Hall, leur propriété d’Ealing, rapporte un peu, mais pas suffisamment pour assurer des rentes et des dots à toute la fratrie.
Mais Olivier a plus d’un tour dans son sac. Sa grand-mère veut qu’il se marie ? Soit, direction le bordel pour trouver sa future fiancée. Mais celle sur laquelle il va tomber a plus d’un tour dans son sac…
Je n’irai pas plus loin dans l’histoire, c’est à vous de découvrir le reste ! Il suffit juste de savoir qu’on s’attache énormément aux personnages, qu’il y a de l’humour, de l’amour, et tous les bons ingrédients pour faire une très jolie histoire ! Et puis moi je le répète, je suis fan de la grand-mère !
Chronique réalisée par Rose
:star: Une Américaine à Londres de Sabrina Jeffries
Série : Les Hussards de Halstead Hall Tome 1
Nombre de pages : 380 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 7 janvier 2015
Collection : Aventures & passions
Langue : Français
ISBN-10: 2290091707
ISBN-13: 9782290091708
Prix Éditeur : 7,40 €
Disponible sur Liseuse : OuiLire un extrait du roman
Son résumé :
Olivier, marquis de Stoneville, est consterné : lasse de ses frasques, sa grand-mère Hetty annonce qu’elle le déshéritera s’il n’est pas marié avant la fin de l’année. Sa seule clémence : il est libre de choisir sa future épouse. Bien décidé à ne pas être traîné à l’autel contre son gré, Olivier contre-attaque. Pour forcer Hetty à renoncer à cette folie, il feindra de tomber amoureux de la jeune femme la plus inconvenante qui soit. Et c’est ainsi qu’il déniche la jolie Maria dans un bordel de Londres. Mais tel est pris qui croyait prendre…
Mon avis :
J’ai adoré ! (Et je pourrais m’arrêter là, mais je ne suis pas sûre que notre chère tenancière soit ravie de mon argumentation… ;-)) Bref, je vais tenter de calmer mes ardeurs, et de vous raconter cette histoire…
Tout commence par une lettre…
Le récit commence par une lettre d’Hester Plumtree, dite Hetty, la grand-mère de nos héros. Elle a un côté un peu Maggie Smith dans Downton Abbey, ce qui la rend tout de suite très sympathique ! Dans cette lettre, elle explique que sa fille et son gendre sont décédés dans un tragique accident. Elle a donc du élever ses cinq petits-enfants : Olivier, l’aîné, qui sera au centre de ce premier tome, qui n’a aucune envie de donner un arrière-petit-enfant à Hetty et préfère fréquenter les bordels de Londres ; Jarret, grand parieur devant l’éternel ; Minerva, auteur à succès de romans gothiques ; Gabriel, fan de courses de chevaux ; et Célia, la petite dernière, qui ne jure que par les pistolets. Une famille atypique comme on les aime !
Hetty a donc décidé d’ourdir un plan machiavélique pour que ses petits-enfants adorés rentrent dans les rangs. Et ils ne risquent pas d’être très contents…
Un tragique accident
Nous sommes en 1806 à Ealing, en Angleterre. Oliver Sharpe a seize ans, et vient de se faire surprendre par sa mère dans une situation assez compromettante. Furieuse, celle-ci le traite de tous les noms : il suit le même chemin que son père et entraîne la déchéance de la famille. Elle part à la recherche de son mari. Mais les parents d’Olivier ne rentreront jamais à la maison : sa mère tuera son père avant de retourner l’arme contre elle.
Près de vingt ans plus tard, cette scène est encore très vivace dans l’esprit d’Olivier. Les rumeurs autour du décès de ses parents sont encore là, et le jeune homme est bien conscient que ce n’est pas en s’abrutissant d’alcool et en partageant la couche de nombreuses filles de joie qu’il oubliera cette journée funeste. Hetty avait expliqué à l’époque que sa fille était allée se reposer dans le pavillon de chasse et, croyant être réveillée par un intrus, avait tiré sur son mari avant de se donner la mort. Mais cela ne fut pas suffisant pour empêcher les ragots.
Et si cette scène lui revient en mémoire en ce moment-même, c’est parce que sa grand-mère les a tous convoqués à Ealing, sur la propriété fermée depuis des années. Et cash comme elle est, ce qu’elle leur annonce les laisse sans voix : ils ont tous un an pour s’établir, sinon ils seront déshérités. Et en plus elle leur coupera les vivres (sinon ce n’est pas drôle). S’ils ne respectent pas ce qu’elle leur demande, ils seront sous la responsabilité d’Olivier. Or Halstead Hall, leur propriété d’Ealing, rapporte un peu, mais pas suffisamment pour assurer des rentes et des dots à toute la fratrie.
Mais Olivier a plus d’un tour dans son sac. Sa grand-mère veut qu’il se marie ? Soit, direction le bordel pour trouver sa future fiancée. Mais celle sur laquelle il va tomber a plus d’un tour dans son sac…
Je n’irai pas plus loin dans l’histoire, c’est à vous de découvrir le reste ! Il suffit juste de savoir qu’on s’attache énormément aux personnages, qu’il y a de l’humour, de l’amour, et tous les bons ingrédients pour faire une très jolie histoire ! Et puis moi je le répète, je suis fan de la grand-mère !