Mary Burton

Texas Rangers, tome 2 : La septième victime
Auteur : Mary Burton
Serie : 
Genres : Romance, Suspense
Editeur : Milady
Publication: 23/ 01/ 2015
Edition: Ebook
Pages : 528
Rating: 

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• Chroniqué par SHIE CASTEE

- Lu en partenariat avec Milady pour le Ladies Club -

Résumé :

À ses trousses, un tueur décidé à finir le travail.
Lara Church a échappé de peu à l'Étrangleur de Seattle. Ce tueur en série laissait le corps de ses belles et jeunes victimes dans des robes blanches cousues main. Depuis sept ans, il a disparu sans laisser de traces, et Lara, partie à Austin, tente de reconstruire sa vie malgré l'amnésie qui a effacé les souvenirs de son agression. Mais l'Étrangleur est de retour, dans sa nouvelle ville. Et entre la proie et son bourreau ne se dresse qu'un Texas Ranger, James Beck, déterminé à empêcher le tueur d'atteindre sa septième victime...

L'avis de Shie Castee :

C’est le second tome de la série des Texas rangers.
Du point de vue «  technique », encore une fois, il fait 528 pages, ce qui ne gâche pas mon plaisir. L’auteur a ainsi le temps de peaufiner ses personnages, de leur donner plus de consistance et de profondeur. La traduction est agréable, le style est clair, la lecture a été agréable.
Je retrouve avec beaucoup de plaisir la plume de l’auteur. Elle arrive à se renouveler, aussi bien dans ses personnages que dans les histoires. La romance  change elle aussi. Les 2 héros ne se connaissent pas contrairement aux deux premiers tomes ou ils ont déjà une histoire commune. .
Elle construit son livre comme les précédents, avec la romance presque en second plan, privilégiant l’enquête de police et le suspense de l’histoire. Encore une fois, il faudra attendre presque 400 pages pour voir les deux héros se rapprocher.
 Son style fluide, nous permet de découvrir en alternance, les points de vue des deux héros : Lara, une  photographe et James, le Rangers. Le rythme est interrompu par les points de vu du meurtrier, ou de ses (futures) victimes avant de mourir…  
L’histoire débute avec la découverte d’un 2ème corps dans les environs d’Austin au Texas, dont le mode opératoire fait penser au rangers mit sur l’enquête, a l’Etrangleur de Seattle , qui a sévit 7 ans au paravent dans le nord des us.  Il fait appel a  Mike raines, ancien inspecteur, devenu détective privé, qui avait suivit l’affaire a l’époque. Ce dernier  lui apprends qu’ une seule des victimes de l’Etrangleur  avait réussi a s’en sortir, une jeune femme du nom de Lara Church, tellement traumatisée par l’agression qu’elle n’en n’avait aucun  souvenir.
Avec son chien, Lara vit dans a Austin ou après des années d’errances suite a son agression, elle c’est fixée dans la maison de sa grand mère. Elle c’est refugiée dans le mode de la photographie enseigne cette matière a l’université.
Et lentement tout ce met en route… le passé de Lara la rattrape, l’enquête amène le Rangers à prendre contact avec la jeune femme.
 L’auteur arrive à faire monter la tension jusqu’au final qui est des plus époustouflants et surprenants.
 Le livre m’a beaucoup plu, j’ai passé un très bon moment de lecture.
J’espère qu’il vous plaira autant.
Bonne lecture. 

Extrait :

Au bout de trois jours, toujours sans nouvelles de l’enfant, les autorités locales avaient fait appel aux Texas
Rangers, et Beck avait été affecté à cette affaire. Les rangers, que l’on comparait souvent aux cow-boys du Far
West, composaient en réalité une unité d’élite moderne qui faisait partie du service de sécurité publique, le SSP.
Au bout de vingt minutes d’entretien avec Dial, Beck avait compris que cet ouvrier en bâtiment mentait. Mais
plus il lui posait de questions, plus Dial niait. Beck en avait fait une affaire personnelle et s’était juré de retrouver Misty. Il n’avait plus lâché le suspect, même après que les médias eurent perdu leur enthousiasme,
leur espoir de voir la fillette secourue ayant fait place au simple désir de retrouver son corps. Quand Dial, qui s’était révélé être le mouton noir d’une famille aux nombreuses relations en haut lieu, s’était plaint d’être constamment filé par Beck, le supérieur de ce dernier avait ordonné au ranger de faire profil bas en attendant que la situation s’apaise. Mais Beck avait désobéi. Il avait continué à épier Dial pendant son temps libre.

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Un autre avis chez :

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