Safran, blanc, vert

Merci aux
éditions Oskar !

En 1947, Kate est adolescente. Elle habite à Delhi avec ses parents. Son père est marchand de thé. Mais bientôt, l’Inde sera indépendante. La jeune femme a cependant décidé de ne pas retourner en Angleterre et de rester dans le pays qui l’a vue grandir. Son combat va la faire rencontrer le couple Mountbatten et Gandhi. Comme pour Le choix d’Ivan qui fait lui aussi partie de la collection Histoire et Société des éditions Oskar, Sophie Belin a mélangé aux « personnages illustres qui ont existé » des personnages inventés de toutes pièces et donc pleins de liberté pour Safran, blanc, vert.

Ce dernier ouvre une faille dans la frise du temps sur une voire même deux périodes importantes de l’Histoire qui ont déjà servi de décor à des œuvres littéraires (Il faut se rappeler combien « la facette somptueuse de l’Angleterre » a inspiré Rudyard Kipling). Attiré par l’aventure et la connaissance, le lecteur entre par la porte qui est alors ouverte pour lui et se balade sans aucune difficulté dans un pays en plein bouleversement. Le contexte, la Partition sont en effet clairement expliqués, le récit ne contient pas plus de détails qu’il ne le doit. Pour plus de précisions, il est suivi d’un dossier documentaire illustré. Et l’envie de découvrir l’Inde sous la domination anglaise se crée également. Voilà un joli moment passé à découvrir, à s’étonner, à retenir son souffle, à réfléchir, à apprendre.

Présentation de l’éditeur :
Delhi, printemps 1947. Alors que l’Inde vit ses dernières heures sous le joug colonial, Kate, une adolescente anglaise, se bat pour rester dans le pays qui l’a vue grandir. Des Mountbatten à Nehru et Gandhi qu’elle croise au cœur du pouvoir, sa détermination à suivre le grand vent de l’histoire la conduit à se rebeller, elle aussi, et embrasser la liberté safran, blanc, vert, les couleurs de la jeune nation indienne.

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