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Kamal Hachkar reçoit un Award pour son Tinghir-Jérusalem

Par Mickabenda @judaicine
KAMAL-HACHKAR

La 18e édition du Festival annuel du film séfarade, qui se tient en ce moment à New York, a rendu hommage au réalisateur franco-marocain Kamal Hachkar, primé pour son documentaire Tinghir-Jérusalem.

Kamal Hachkar s’est vu attribuer, un Award pour son travail artistique et sa contribution, par ce travail de mémoire, au dialogue des cultures.

Son documentaire Tinghir-Jérusalem: Échos du Mellah est le récit d’un exil, celui de la communauté juive ayant quitté le village Berbère de Tinghir au Maroc, dans les années 50/60. Kamal Hachkar, originaire de Tinghir, nous emmène à la croisée des cultures et fait résonner les chants, les voix et les histoires de cette double identité partagée entre juifs et musulmans.

Au moment de la remise de son prix, le réalisateur a évoqué son film comme

un voyage entre le passé et le présent, la redécouverte de la mémoire de l’héritage judéomarocaine et judéoberbère au Maroc, la mémoire de la diversité culturelle qui est au fondement de la société marocaine, une diversité que beaucoup d’entre nous s’efforcent de maintenir aujourd’hui. Tinghir-Jérusalem est un film sur l’autre et l’absence de l’autre, le Juif absent qui nous manque tant au Maroc et surtout dans ma ville natale, Tinghir, une ville du sud du Maroc, dans une vallée, dans les montagnes de l’Atlas

La 18e édition du Festival annuel du film séfarade, qui se tient en ce moment à New York, a rendu hommage au réalisateur franco-marocain Kamal Hachkar, primé pour son documentaire Tinghir-Jérusalem.

Kamal Hachkar s’est vu attribuer, un Award pour son travail artistique et sa contribution, par ce travail de mémoire, au dialogue des cultures.

Son documentaire Tinghir-Jérusalem: Échos du Mellah est le récit d’un exil, celui de la communauté juive ayant quitté le village Berbère de Tinghir au Maroc, dans les années 50/60. Kamal Hachkar, originaire de Tinghir, nous emmène à la croisée des cultures et fait résonner les chants, les voix et les histoires de cette double identité partagée entre juifs et musulmans.

Au moment de la remise de son prix, le réalisateur a évoqué son film comme

un voyage entre le passé et le présent, la redécouverte de la mémoire de l’héritage judéomarocaine et judéoberbère au Maroc, la mémoire de la diversité culturelle qui est au fondement de la société marocaine, une diversité que beaucoup d’entre nous s’efforcent de maintenir aujourd’hui. Tinghir-Jérusalem est un film sur l’autre et l’absence de l’autre, le Juif absent qui nous manque tant au Maroc et surtout dans ma ville natale, Tinghir, une ville du sud du Maroc, dans une vallée, dans les montagnes de l’Atlas


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