Encore une fois, le lecteur se laisse prendre au jeu de l'illusi on lit téraire tandis que les personnages, plus vivant que jamais, prennent le pas sur leur destin de papier... Ah moins qu'un lecteur trop corrompu par les belles-lettres ne décide de s'en mêler. du lecteur ou du faux-personnage se perdra en premier ? Car tout semble coïncider pour faire de emma overy la digne relève de celle dont elle semble avoir tout en cmmun, sa presque homonyme Emma Bovary. N'y a-t-il pas des avant coureur du désastre qu'il faudrait empêcher, de trop troublantes similitudes dans ses deux femmes, au point que le petit boulanger de ce coin perdu de Normandie, devenu totalement obnibulé, tentera d'interférer dans l'istoire elle-même ? Mais ne dit-on pas que les ? Vivre à côté, où dans l'illusion de personnage de romans est bien plus dangereux de fausseté qu'on ne le croit...
Nous nous y perdons nous aussi ; tout en douceur, sans que rien ne semble l'y prédestiner, le de ses deux histoires paraèles les réunira. Il devient impossible d'y croire, malgré toutes les similitudes qui les lient, tant Gemma est dans le caractère l'thèse d'Emma. Ce déterminisme qui semble les guider se propage doucement, sournoisement, presque délicatement dans ces vies, qui ne deviennent alors que les juets du sort.
Manière d'aborder le film :
En Philosophie : sommes-nous amené à répéter les mêmes ?
En Psychologie : Les actes d'autrui ont-ils une incidence sur mes choix ?
En Sociologie : Comment les lieux dans lequel nous vivons ont-ils une prise sur nous ? (Le fait que l'histoire se déroule, même à plusieurs siècles d'intervalle, dans un lieu semblable, campagnard et en Bretagne, influence beaucoup la perception du boulanger jusqu'à l'induire en erreur)