On parle souvent du "fléau", du "cancer du chômage". On parle beaucoup moins des Français sans doute plus nombreux encore qui se sentent piégés dans leur boulot. On se rend bien compte que cette angoisse permanente (et sous-jacente) liée à l'opprobre du chômage, à la perte de sécurité sociale (même si la couverture maladie universelle existe) et d'une mutuelle, à l'impossibilité de se constituer une retraite, toute cette anxiété est totalement contreproductive et mine les fondements de la société. Mais comment y remédier? Sans prétendre vouloir régler le problème, il serait bon de se pencher sérieusement sur le sujet.
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