Photo : Alexander Spit
Que ce soit à la basse dans un de ses groupes de rock, à la production d’un beat aérien ou à la composition d’une ballade pour Kali Uchis, Caleb Stone sait toujours faire preuve de beaucoup d’imagination et ne cesse jamais de nous surprendre. Aucun doute, le mec a ce truc ! On lui a donc posé quelques questions histoire d’en savoir un peu plus sur lui, qu’on se tape une barre et qu’il nous lâche deux trois exclus.
Union Street : Salut. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots pour nos lecteurs qui ne te connaissent pas encore ?
Caleb Stone : Salut.
US : Quel est ton premier souvenir musical marquant ?
CS : L’Ozzfest, 2001.
US : Comment t’es tu mis à la musique et à la production ?
CS : Par accident.
US : Tu fais partie d’une génération de jeunes producteurs qui n’a pas peur de tester différentes sonorités. Quels sont tes inspirations ? Tes artistes préférés ?
CS : Flux Pavillion, Modest Mouse.
US : Comment tu décrirais ta musique ?
CS : Je ne la décrirais pas.
US : Tu as travaillé avec beaucoup d’artistes mais le projet qui a vraiment fait parlé de toi à l’échelle international est l’EP Accross de Kilo Kish, sorti sur le label Kitsuné en 2014. Un projet que tu as produit dans sa totalité. Comment tout ça est-il arrivé ?
CS : Naturellement.
US : Tu as aussi produit les deux derniers projets du rappeur Speak. Vous collaborer depuis un moment déjà. Est ce que tu peux parler de vôtre relation ?
CS : Speak est une superstar.
US : À part la musique, quels sont d’autres trucs que t’aimes faire ?
CS : Boire de la bière.
US : Est ce que tu peux parler du mix et de l’atmosphère que tu as créé ?
CS : J’ai fait le mix live, en une prise et en utilisant DJAY.
US : Que peut-on attendre de Caleb Stone dans un futur proche ?
CS : La même chose de meilleure qualité.
Propos recueillis par Jean Benoît Ndoki.
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