Alors que la comédienne Catherine Jacob lisait ce dimanche des textes au Mémorial de l’Internement et de la déportation de Compiègne, elle est revenue sur le rapport qu’elle entretient avec le judaïsme.
Depuis que j’ai dix ans, on me demande, avec une grimace, si je suis juive à cause de mon nom Catherine, Anne-Marie, Rachel, Jacob. Je suis donc très sensibilisée à toutes les questions d’antisémitisme. Quand j’ai accepté cette proposition, nous étions très loin des événements du 7 janvier. Nous vivons une période de régression bourrée d’amalgames. On n’en sort jamais.
Puis elle déclare
Je suis une goy juive
Alors que la comédienne Catherine Jacob lisait ce dimanche des textes au Mémorial de l’Internement et de la déportation de Compiègne, elle est revenue sur le rapport qu’elle entretient avec le judaïsme.
Depuis que j’ai dix ans, on me demande, avec une grimace, si je suis juive à cause de mon nom Catherine, Anne-Marie, Rachel, Jacob. Je suis donc très sensibilisée à toutes les questions d’antisémitisme. Quand j’ai accepté cette proposition, nous étions très loin des événements du 7 janvier. Nous vivons une période de régression bourrée d’amalgames. On n’en sort jamais.
Puis elle déclare
Je suis une goy juive