Magazine Culture

Ça Sims pour moi !

Publié le 01 mai 2015 par Polinacide @polinacide

emmanuelle_histoires de v oir_jeu vidéo_Les Sims« Sul sul ! » J’ai beau lutter, je suis trop faible : me voilà retombée en enfance. Malgré toutes mes tentatives d’éradiquer mon côté geek, il revient au galop et d’autant plus depuis que les Sims ont débarqué sur l’Iphone. Gratuitement, pour ne rien gâcher au plaisir. L’euphorie des débuts mise à part, quelques jours ont suffit pour que cet amas de pixel ambulant finisse par me vampiriser l’existence. Ça vibre, ça vibre, et ça n’en finit plus. Pire qu’un tamagotchi du temps où j’étais gosse.

Si mes nouveaux protégés me réclament presque autant que mes propres amis, difficile de leur expliquer que 4 heures du matin n’est pas une heure décente pour se faire une partie. Jouer ou dormir : il faut choisir. Même si vos Sims tendent à vous faire pencher vers la première option. Chaque semaine, la même rengaine : je joue, je me lasse, je désinstalle puis je recraque. Les mois passent, et le côté obscur du «Sul sul !» finit toujours par avoir raison de moi. Pauvre mortelle. Clash of clans, Celtic heroes, le tournoi des champions de Marvel et même Mortal Kombat : j’ai tout essayé pour me seuvrer. Rien n’y fait. À croire que ces maudits Sims sont encore plus vicieux que la clope : il vous prennent par les sentiments jusqu’à ce que vous ne puissiez plus les lâcher. Le job de rêve, la baraque du tonnerre et le gamin pas trop chiant en bonus : addictif et chronophage, mais foutrement drôle. Avouons-le : on ne s’était pas autant amusés à jouer à la poupée depuis Barbie ! D’ailleurs, je crois qu’il est grand temps que j’aille me refaire une partie. 


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Polinacide 1010 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine