La parution du mon dernier roman, Les blessures du silence, le 8 avril dernier, m’a laissée toute désemparée car, contrairement au bébé de chair, le bébé de papier est aussitôt donné en adoption. Je n’ai d’autres choix que de m’en fabriquer un autre, ce à quoi je me consacre durant la présente résidence d’écriture, du 1er au 23 mai. N’oubliez pas de me transmettre vos commentaires lorsque vous aurez lu Les blessures du silence.