ne plus savoir
perdre le souffle
dans le vent qui s’accouple
aux forêts silencieuses
attendre le dernier cri
le dernier appel
de l’oiseau affamé
puis se taire
ne plus bouger
devenir pierre ou racine
ne plus savoir
perdre le souffle
dans le vent qui s’accouple
aux forêts silencieuses
attendre le dernier cri
le dernier appel
de l’oiseau affamé
puis se taire
ne plus bouger
devenir pierre ou racine