L'abbé Jean Vié à Rennes les Bains.
L'abbé Boudet a modifié volontairement la tombe de l'abbé Jean Vié en y inscrivant une fausse date de décès.
On sait peu de chose sur ce personnage. On pense qu'il est à l'origine de l'affaire de Rennes le Château. Des livres de comptes qui auraient été trouvés, indique qu'il serait celui qui a fait des versements pour une somme totale
de 3.679.431 F or à Marie Dénardaud (Bien entendu au profit de l'abbé Saunière et de ses travaux).
L'abbé Jean Vié est le prédécesseur de Henri Boudet dans cette paroisse de Rennes-Les-Bains. Sa tombe se trouve sur la droite de celle de la famille Boudet. L'abbé Boudet a souhaité être enterré au coté de son frère Edmond dans la paroisse d'Axat, village proche de Rennes les Bains et de Rennes le Château.
Au premier regard, l'épitaphe paraît normale. Mais quand on y regarde de plus prêt, on ne peut s'empêcher de remarquer des détails pour le moins curieux.
La première ligne attire immédiatement l'attention.
On y trouve les chiffres 1 et 7 qui forment le nombre 17.
Est-ce un petit jeu de l'abbé Boudet avec le nom de Jean Vié et qui devient 17 janvier ?
Mais nous savons que le 17 janvier est une date particulière que nous retrouvons souvent dans cette affaire, alors pourquoi ?
Faisons le lien avec la pierre tombale de la Marquise de Blanchefort, Marie de Négri d'Ables, décédée un 17 janvier comme l'indique sa stèle.
Mais curieusement, cette coïncidence n'en est pas une. Effectivement, l'abbé jean Vié n'est pas mort à cette date.
Mais a-t-il voulu faussé les pistes en faisant indiquer une fausse date sur sa stèle ?
Cette date a-t-elle été gravée par une personne détenant le secret ?
Ou est ce l'abbé Boudet qui a modifié cette épitaphe ?
Autre remarque flagrante, on a écrit Jean VIE et non Jean Vié.
On comprend que le but a été de dissimuler quelque chose ?
La tombe de la famille de l'abbé Boudet nous montre aussi des curiosités.
La croix de pierre présente 2 flèches gravées qui se coupent en angle droit. Le motif aurait pu passer pour une simple décoration mais si on examine les détails, on remarque, que la flèche verticale est orientée la pointe vers le haut.
L'abbé Boudet voulait-il nous montrer une direction ou un méridien à utiliser ou une méthode, celle du croisement de 2 axes pour situer un lieu ?
Mais si l'on se réfère à son ancienne orientation, la flèche verticale indique le Nord et donc un méridien. La flèche horizontale est alors une latitude qu'il faut interpréter pour trouver un point précis.
Si ce type de gravure est courante, sur une stèle, il faut admettre qu'elle prend un sens qui nous parait capital pour décrypter sinon le mystère de toute cette affaire au moins ses origines et peut être par où commencer d'éventuelles recherches.