Cedie Janson vient de Brisbane et dégoise via une cassette parue le 8 mai dernier sur Lost Race Records, label instigué par Danny Venzin de Nite Fields, une électronique mélodique et sensible à faire frémir dans leurs bonds tous les kangourous de l’état-continent. Membre depuis quelques lustres du trio dream-pop Naked Maja – auteur l’année dernière du bel EP The Vagrant ayant vu la participation de Lawrence English au mastering – , l’Australien glisse avec une douce euphorie une electronica susceptible de ravir n’importe quel chill-out en manque de sensations opiacées. Rappelant à la fois une IDM en provenance de Sheffield (Algebra) et figurant à merveille cette idiosyncrasie pop à consonance house (Inorganics), Cedie Janson investit des territoires plus expérimentaux, travail que reflète avec un certain talent la mise en images d’In The Light par Megan Cullen.
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Cedie Janson vient de Brisbane et dégoise via une cassette parue le 8 mai dernier sur Lost Race Records, label instigué par Danny Venzin de Nite Fields, une électronique mélodique et sensible à faire frémir dans leurs bonds tous les kangourous de l’état-continent. Membre depuis quelques lustres du trio dream-pop Naked Maja – auteur l’année dernière du bel EP The Vagrant ayant vu la participation de Lawrence English au mastering – , l’Australien glisse avec une douce euphorie une electronica susceptible de ravir n’importe quel chill-out en manque de sensations opiacées. Rappelant à la fois une IDM en provenance de Sheffield (Algebra) et figurant à merveille cette idiosyncrasie pop à consonance house (Inorganics), Cedie Janson investit des territoires plus expérimentaux, travail que reflète avec un certain talent la mise en images d’In The Light par Megan Cullen.
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